Dans le cadre du démenti que la famille Dib voudrait rendre public, nous avons l'honneur de vous informer qu'aucune fondation Dib n'a été agréée par les autorités compétentes, par conséquent, qu'il n'existe pas, et ce, à l'échelle nationale et régionale de fondation Dib. Par ailleurs, nous portons à votre connaissance qu'une association culturelle se dénommant la Grande Maison ayant comme champ territorial la wilaya de Tlemcen, selon l'articule 10 de la loi 90-31 portant loi relative aux associations, s'est octroyée le droit de se redénommer Fondation Dib enfreignant au passage les articles de la loi 90-31. Loi à laquelle cette association est soumise. Nous portons aussi à votre connaissance que cette pseudo-fondation qui actuellement active également à l'échelle internationale, et ce, depuis sa création, sous le nom de Fondation Dib, publie des revues intitulées Rencontres, auteur : Fondation Dib mises en vente au travers du réseau Internet à 2 euros et 3,95 dollars US, et dont le partenaire éditorial : Idlivre, partenaire étranger activant évidemment hors de la wilaya de Tlemcen, en France, pour le compte de l'association culturelle. Nous vous laissons juge à propos de la légalité de cette publication, qui prouve une fois de plus le mépris total quant à la loi 90-31 relative aux associations. Nous citons Mme Sabéha Benmansour, El Watan du 5 décembre 2005 : « ...En ce qui concerne la dénomination association, il faut savoir qu'il n'existe pas de statut particulier pour une fondation... », faut-il que nous rappelions à Mme Benmansour que l'agrément qui lui a été remis par les autorités compétentes locales, à savoir la wilaya de Tlemcen, spécifie de manière claire la création d'une association culturelle, qui est soumise à la législation en vigueur. Nous voudrions au nom du grand homme, le défunt Mohammed Dib, au nom de sa sagesse reconnue à l'échelle planétaire que votre journal porte les informations que nous vous communiquons, à l'effet d'arrêter ce genre d'action. Pour le cas de la pseudo-fondation Dib, aucun patrimoine culturel du défunt Mohammed Dib n'a été et ne sera mis à la disposition de cette « association », notre défunt oncle et frère n'ayant remis ou laissé aucun document justifiant l'action entreprise par l'association culturelle. Nous suggérons à l'association culturelle la Grande Maison de produire le document qu'elle prétend détenir et qui aurait pu faire croire illégitimement à l'existence de la fondation (...). La famille Dib ne peut qu'approuver et avec conviction la démarche visant à la constitution d'une association culturelle au bénéfice de la wilaya de Tlemcen, dont le projet social est la promotion culturelle au bénéfice, toujours, de la wilaya de Tlemcen, par contre ce que nous désapprouvons totalement et catégoriquement, c'est l'utilisation illégitime du nom Dib en étant ainsi soumis à tous les abus (ainsi pour Mme Benmansour : « ... il n'existe pas de statut particulier pour une fondation... ») et qui finiraient par nuire et entacher le nom du défunt. Ce qui est regrettable, c'est que des organismes européens sont convaincus de l'existence de la fondation Dib et le confirment au travers de leurs sites Internet. Nous leurs adressons un démenti ferme, et comptons sur votre intégrité ainsi que sur celle de nos institutions pour sauvegarder l'un de nos piliers culturels. Ce que la famille Dib désire aujourd'hui : L'arrêt définitif de l'utilisation illégitime du nom fondation Dib sous toutes ses formes. Le respect par l'association culturelle des articles de la loi 90-31. Le respect des droits intellectuels et du patrimoine culturel en rapport avec l'œuvre dibienne, avec utilisation, par l'association culturelle la Grande Maison, selon le respect de ces droits reconnus à l'échelle nationale et internationale. Le respect des droits d'un être exceptionnel dont la droiture, la modestie et l'honnêteté n'ont rien en commun avec la situation actuelle. Pour la famille Dib Fayçal Dib Directeur technique Neveu du défunt Mohammed Dib