La grève de la faim que les 300 travailleurs dont 15 ingénieurs en poste à Alfatus, filiale du groupe Sider devaient entamer à compter du 25 mars 2006, n'aura pas lieu. Informés de la rupture de leur contrat dès la fin mars, ces travailleurs tous bénéficiaires du contrat pré emploi (CPE) avaient décidé de recourir à ce moyen extrême pour tenter de faire eentendre leur voix. Elle a été entendue par Aïssa Menadi le secrétaire général de la plate forme syndicale UGTA de Sidi Amar et par le président directeur général du groupe propriétaire de la filiale Alafatus ? A l'issue d'une réunion impronptue tenue ce mardi ebtre les 2 parties, il a décidé d'annuler la décision de rupture de contrat prise par le DG de la filiale. Il a été également décidé de maintenir la totalité des effectifs existants avec le renouvellement des contrats pour une période de 6 mois. Selon le secrétaire jgénéral du syndicat que comporte le contrat de cession. En effet, aAlfatus la plus importante filiale fait l'objet d'un avis de cession du même type dque celui qui avait prévalu pour le complexe sidérrurgique d'El Hadjar. Spécialisée dans la production des tubes destinés au secteur des hydrocarbures, elle est implantée dans l'enceinte de ce complexe. Au même titre que la société germano saxonne Bender et POrimary, les indiens de Mittal Steel El Hadjar sont également intéressées pour son acquisition tout autant que celle de Pigegaz Ghardaïa. Par ailleurs, une assemblée générale des travailleurs est programmée pour le 25 du mois. Le départ de l'actuel staff dirigeant est le seul point à l'ordre du jour. Ce staff serait à l'origine de l'échec subi par la filiale dans sa soumission pour décrocher le marché portant fourniture de plus de 140 km de tubes nécessaire à la réalisation de l'oléoduc Arzew ‘Algérie)-Almeria (Espagne).