Les dernières pluies ont fragilisé davantage des habitations vétustes. A la rue Amar El Kama (ex-rue de Chartres), à la Basse-Casbah, une bâtisse s'est effondrée en fin de semaine, sans faire heureusement de victime. Les habitants de cette rue vivent continuellement sous la menace des effondrements qui sont devenus légion. Une dame est morte dernièrement après l'effondrement du plancher dans un quartier de la Haute-Casbah. L'APC où se dirigent de nombreux plaignants affirme ne pas pouvoir prendre en charge le problème, vu qu'elle ne dispose pas des prérogatives nécessaires. Le ministère de la Culture est en charge de cette partie de la commune, classée secteur sauvegardé. Les travaux menés par des entreprises de réhabilitation ne donnent pas toujours les résultats escomptés. Des vieilles douirate s'effondrent, mettant en danger les nombreux résidants qui réclament avec insistance leur relogement.