-Un nouvel interlocuteur pour Rahmani Après Jean-Pierre Raffarin, voilà Jean-Louis Levet. Le conseiller auprès du commissaire général à l'investissement, Louis Gallois, vient d'être nommé haut responsable à la coopération industrielle et technologique avec l'Algérie. Son interlocuteur à Alger : Cherif Rahmani. -Algérie-Portugal : rencontre d'affaires le 12 juin Une rencontre d'affaires entre les opérateurs économiques algériens et leurs homologues portugais sera organisée les 12 et 13 juin prochain à Alger, a indiqué la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI). Durant cette rencontre, plusieurs secteurs sont au menu des discussions des opérateurs des deux pays, notamment les énergies renouvelables, les matériaux de traitement des minerais, les produits de la transformation du liège, précise la chambre sur son site. -Pétrole : on en reparlera à la rentrée Le colloque international sur «Les changements énergétiques mondiaux et leur impact sur l'Algérie» auquel devaient participer les experts les plus pointus du secteur (Attar, Zerguine, Preure, Boussena, Perrin…) et qui était prévu à Alger les 3 et 4 juin a été reporté à la rentrée. -Les Polonais s'intéressent à Ghardaïa Des représentants d'une quinzaine de firmes polonaises, prenant part à la 46e Foire internationale d'Alger (FIA), ont exprimé, mercredi soir à Ghardaïa, leur intérêt pour le partenariat et l'investissement dans les secteurs de l'agriculture et l'environnement dans la wilaya de Ghardaïa. A la tête de la délégation, un certain Janusz Pisz, responsable chargé de la promotion du commerce et des investissements à l'ambassade de Pologne à Alger. Lors d'une rencontre organisée avec les opérateurs économiques locaux au siège de la Chambre de commerce et d'industrie (CCI-M'zab), la délégation a souligné l'intérêt des firmes polonaises spécialisées pour l'investissement dans la technologie environnementale, particulièrement dans le domaine du recyclage d'ordures et eaux usées, les énergies renouvelables et l'agriculture. -La traçabilité de l'argent de nouveau en question Mine de rien, le sujet est remis sur la table. Le ministère du Commerce a présenté au ministère des Finances des propositions d'ordre opérationnel sur l'application de la mesure relative au paiement par moyen scriptural (chèque, virement, carte, prélèvement, lettre de change, billet à ordre...) des transactions d'un montant supérieur à 500 000 DA. En 2011, l'instauration de cette mesure avait suscité de violentes réactions dans le milieu des importateurs. Objectif : limiter les transactions effectuées en dehors des systèmes formels de paiement.