Des vendeurs informels délogés Des vendeurs informels de la place Bounnah Belkacem et de la rue du 20 août, au centre-ville d'El Milia, et après avoir occupé ces espaces durant plusieurs mois, seront incessamment déplacés vers un autre endroit à la cité Tennis. Un terrain désaffecté, situé à proximité du prolongement de la rue de l'ALN, sera aménagé pour recevoir ces commerçants, devenus un casse-tête pour les autorités locales. Cette mesure est devenue nécessaire pour les besoins des travaux de réfection de la rue du 20 août, prévus dans les prochaines semaines. La passivité affichée dans la prise en charge de ce fléau a encouragé des dizaines de vendeurs à venir s'y installer avec tout le désordre que cela provoque pour la circulation piétonne et automobile. La décision de les déloger risque, toute fois, de rencontrer des difficultés. Une précédente expérience a tourné court à la salle Boulatika Salah, quand des vendeurs de fruits et légumes ont réinvesti les mêmes espaces évacués après l'ouverture d'un marché de proximité. Amor Z. Des émigrés de Marseille demandent une ligne aérienne L'association des travailleurs et commerçants émigrés de la région de Marseille en France, sollicite à travers un document destinée à Air Algérie, et dont copie nous été transmise, l'ouverture d'une ligne aérienne entre Jijel et Marseille. L'association, qui demande le réexamen de ce dossier, justifie cette demande par la forte présence de familles issues de la région, et la nécessité d'alléger les déplacements de la communauté résidente en région Paca (Provence, Alpes, Côte d'Azur). F. S. Des repris de justice s'autoproclament gardiens de parkings Les services de l'APC de Jijel, et dans leur quête d'agir pour mettre de l'ordre dans les parkings improvisés dans les grands quartiers de la ville, ont été confrontés à des repris de justice, qui se sont autoproclamés gardiens des lieux. Les enquêtes des services de sécurité n'ont pas été favorables pour permettre une délivrance d'autorisations à des individus aux lourds passifs judiciaires, ce qui a compliqué la tache aux responsables de l'APC pour réglementer la gestion de ces parkings. Sur les 25 parkings recensés, 13 ont été réglementés et le reste attend de l'être, selon les déclarations du P/APC de Jijel. Il faut dire, qu'en plus de leur arrogance à imposer leur diktat aux citoyens, ces repris de justice se sont arrogé le droit de gérer ces parkings sans la moindre autorisation, comme ils le font d'ailleurs sur les places publiques et les trottoirs. A. Z.