La route des fermes (Dirou-Abid Ali), menant à l'aéroport, est un véritable dépotoir à ciel ouvert. Ordures en tous genres s'entassent en de nombreux endroits, longeant l'oued Bousselam, pollue plus que jamais. Cette partie, l'autre porte d'accès à l'antique Sitifis, est « envahie » par les sacs en plastique, divers détritus et des quantités de bouteilles et canettes d'alcool qui « balafrent » l'environnement d'un tronçon très fréquenté par les familles sétifiennes avides de lieux de villégiature qui ne sont hélas pas légion du côté de Aïn El Fouara. Le chemin en question est l'un des passages des usagers de l'aéroport et des étrangers notamment qui se rendent, avec l'avènement de l'infrastructure précitée, de plus en plus nombreux dans la région. Pour qu'elle retrouve sa vocation première, la voie mérite un lifting. Les routes jouxtant le cimetière Benghafa et le 2e campus universitaire d'El Bez ne sont pas, eux non plus, épargnées.