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Décharges à ciel ouvert en plein centre-ville
Le phénomene devient inquiétant à Guelma
Publié dans El Watan le 26 - 05 - 2014

La saleté parvient aux portes de l'APC, la direction de la Culture...
La ville de Guelma est en passe de devenir un cloaque à ciel ouvert. Situé en plein centre-ville, le boulevard Mohamed Salem (ex-Volontariat) subit les affres des riverains, pour la plus part des commerçants, qui y déversent, sur la chaussée, et sans vergogne, un éventail assez complet de détritus d'origines animale, végétale, cartons et autres emballages. Eté comme hiver, les saletés et les détritus libèrent leurs effluves nauséabonds. Et pourtant, la priorité des autorités locales était la délocalisation du marché de fruits et légumes, principale source de nuisance sur ce boulevard marchand.
En amont de ce même axe, construit au début des années 1980, sur l'Oued Skhoun, une décharge sauvage a poussé. Les milliers de familles qui vivent à la cité Hadj M'barek, avec une vue imprenable sur l'oued, devenue ruisseau, ont en fait une décharge. Même le jardin public Mustapha Seridi, au centre-ville de Guelma, lieu qui a connu dans le passé ses moments de quiétude à l'ombre des arbres et autres plantes exotiques, est réduit à sa plus simple expression de «trottoir», où «fleurissent» ici et là des monticules de déchets ménagers.
Même les pièces archéologiques de l'époque romaine n'ont pas échappé aux actes de vandalisme. Elles sont ont été transformées en vespasiennes. En fait, pas un pan de la ville n'est épargné par l'incivilité de certains habitants. Un phénomène qui a pris de l'ampleur avec l'arrivée des vaches dans les rues de Guelma. Ces bêtes passent la journée à paître dans les amas de détritus, comme c'est le cas à la cité du 19 juin ou à la cité Aïn Defla. Les autorités locales ont promis de mettre un terme à ce phénomène, mais rien n'a été fait ! Pour les élus locaux et autres fonctionnaires « la saleté disparaîtra avec plus de moyens humains et matériels mis à la disposition de l'APC de Guelma». Une réplique dénuée de tout fondement puisque tout un chacun peu voir les amas d'immondices sur le parvis du siège de l'APC de Guelma ou à l'intérieur du siège administratif des directions de la culture, du tourisme et de l'emploi.
Le même constat est fait du coté des sièges de la direction des mines, des transports, de l'urbanisme et de l'environnement. Pour d'autres habitants exaspérés de voir leur ville dans cet état, ils plaident pour la répression des contrevenants. Mais eux, nous dit-on, ne font pas l'effort, à une heure régulière, de sortir leur poubelle. «Les riverains et autorités locales logent à la même enseigne », tel est la déduction, la plus plausible, à retenir d'un des citoyens de la ville de Guelma. Bien évidemment, ils en existent encore et c'est tant mieux.


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