La soirée de Khaled gâchée par les vigiles Les gens de la presse chargés de la couverture médiatique du Festival de Baâlbek à Djemila se sont réunis, hier matin, et ont élaboré un communiqué dans lequel ils dénoncent les actes irrespectueux d'agression et de violence de la part des vigiles en charge de la sécurité du festival dont ils ont été victimes durant les différentes soirées et surtout la 6e animée par le king Khaled. Ces actes portent atteinte au festival dédié à la solidarité avec les peuples libanais et palestinien et qui est placé sous le patronage de la plus haute autorité de l'etat. Il est regrettable de constater l'absence de réaction de la part des organisateurs du festival. De l'eau dans le kérosène Des sources proches de la commission chargée d'enquêter sur les causes à l'origine du crash, survenu dans la nuit de dimanche à lundi derniers, d'un avion cargo d'Air Algérie, révèlent que le kérosène utilisé n'était pas pur. En effet, il semble qu'une quantité d'eau aurait été retrouvée mélangée à ce carburant, d'où les problèmes de moteur signalés. Actuellement, les investigations sont menées par les enquêteurs de l'aviation civile italienne. Pour sa part, le ministère algérien des Transports se déclare prêt à contribuer àcette enquête. La CNAS d'Alger a horreur de l'informatique L'agence de la CNAS de Maurétania (Alger), — qui traite les dossier des fonctionnaires du ministère des Finances — a visiblement horreur de l'informatique. Dans le cas contraire, comment expliquer alors que ses services mettent plus d'un mois pour enregistrer de simples demandes d'affiliation à l'assurance sociale. Des demandes qui plus est ont reçu un ok ferme. Le comble, c'est qu'aujourd'hui tout le monde sait que l'outil informatique permet de « saisir » un dossier en moins de cinq minutes. Chrono en main. Plutôt que de faire leur travail, les agents de cette CNAS sombrent dans la bureaucratie et trouvent du plaisir à jouer au ping-pong avec les citoyens qu'ils font quotidiennement valser de service en service. Licenciements « abusifs » à l'OPU Des travailleurs auraient fait l'objet d'un licenciement « abusif » par la direction générale de l'Office des publications universitaires (OPU) durant ces derniers mois. « La direction générale a licencié sans aucun motif un groupe de travailleurs parmi lesquels des syndicalistes affiliés à l'Ugta. A titre d'exemple, durant le mois de juillet, 5 travailleurs, dont 3 syndicalistes (la totalité de la section syndicale de la direction régionale d'Alger), ont été licenciés », écrit un groupe de travailleurs dans un courrier. « La direction s'appuie, sur l'article 74 de l'ordonnance 96-21 qui traite des relations de travail », et qui stipule que « le tribunal saisi, statue en premier et en dernier ressort et se prononce soit sur la réintégration du travailleur dans l'entreprise (…) soit, en cas de refus par l'une ou l'autre de ces parties, sur l'octroi au travailleur d'une compensation pécuniaire (…) ». La direction, déclare-t-on, refusera, le cas échéant, la réintégration des travailleurs. Ces derniers devront se contenter des dommages et intérêts. La méga-soirée de Nokia Le Nokia N91 sera associé, aujourd'hui, à une méga-soirée animée par les stars DJ Ravin et Carlos Campos qui assailliront ensemble les platines du Nautilus Club à l'hôtel Sheraton Club des Pins (Alger). Nokia est heureux de permettre aux Algérois de s'amuser et de danser sur leurs tubes favoris en leur offrant trois des meilleurs DJ du moment. Grâce aux incroyables fonctions musicales du Nokia N91, ils pourront ensuite transporter leurs morceaux préférés et en profiter partout et en tout moment. Probable marée noire après une collision dans l'océan Indien Environ 4500 t de pétrole brut se sont probablement déversées dans l'océan Indien lors d'une collision, lundi dernier, entre un pétrolier japonais et un cargo singapourien, a annoncé hier la compagnie nippone de navigation Mitsui OSK Lines. L'accident a eu lieu lundi à 13h locales (6h GMT) à environ 290 km à l'ouest de l'archipel indien des Nicobar. Les deux navires se sont heurtés alors que le pétrolier, le Bright Artemis, venait au secours du cargo l'Amar qui était la proie d'un incendie. Le choc a causé un trou d'environ un mètre sur cinq dans la coque du pétrolier, au-dessus de la ligne de flottaison. Deux cuves se sont vidées en mer, a expliqué Mitsui OSK Lines dans un communiqué. Selon l'agence de presse Kyodo, il pourrait s'agir de la plus grave pollution jamais provoquée par un pétrolier japonais.