- Douar Ben Ziane (Bordj El Kiffan) : Travaux de doublement de la route à l'arrêt Les travaux de doublement du tronçon de route qui relie l'autoroute au lieudit Haraga, dans la commune de Bordj El Kiffan, sont toujours à l'arrêt au douar Ben Ziane. Un pont qui traverse l'oued El Hamiz a été réalisé à cet endroit délimitant la progression des travaux. A partir de ce pont, un goulot d'étranglement oblige les automobilistes à ralentir, ce qui crée continuellement des embouteillages, notamment durant les heures de pointe. Au lieudit Qahouet Chergui, la chaussée se rétrécit également au passage de la ligne du tramway. En dépit de l'installation des feux tricolores au niveau de cette intersection, les bouchons continuent de pénaliser les automobilistes. La circulation routière dans toute cette partie de l'est de la capitale est très congestionnée. Les habitants qui travaillent en ville passent des heures entières dans l'encombrement que génère ce lieu. L'ouverture de la ligne du tramway n'a pas été d'un grand secours, puisque ce dernier met plus d'une heure et demie pour arriver au terminus, au Ruisseau. - Bab Ezzouar : Des ralentisseurs à foison à la cité El Wouroud Les habitants de la cité El Wouroud, dans la commune de Bab Ezzouar, ont installé plusieurs ralentisseurs à l'entrée de la cité. Les automobilistes qui rejoignent leur domicile par cette voie mettent leur véhicule à rude épreuve, car ces dos-d'âne sont abrupts et non signalés. De nuit, les automobilistes qui ne connaissent pas la cité sont surpris. «Le nombre de dos-d'âne est ahurissant, d'où le désagrément causé aux voitures», affirment les habitués de la route. «Les autorités locales sont appelées à faire le travail qui est le leur en matière d'organisation de la voie publique. Si tout un chacun se mettait à ériger des ralentisseurs devant chez lui, ce sera l'anarchie», ajoutent-ils.