- Circulation routière : L'est de la capitale congestionné Pour les automobilistes qui veulent rejoindre les communes de l'est de la capitale à partir de la rocade sud, ils doivent passer par le barrage filtrant de Souachet. Arrivé à cet endroit, les voitures doivent emprunter une seule voie. Ce qui crée des embouteillages, pouvant atteindre des kilomètres. En passant les dernières barrières métalliques, les automobilistes doivent également franchir une série de ralentisseurs et de dos-d'âne. Sur la RN24, deux barrages ont été installés. Déjà que la circulation routière n'y est guère fluide, l'installation de ces barrages viennent l'entraver encore plus. Le premier barrage se trouve au lieudit l'Artisanat. En y arrivant, les automobilistes sont contraints de passer tous par une seule voie. Cette voie réductrice est en fait un goulot d'étranglement, à partir duquel des files de voitures se forment à longueur de journée. Le deuxième barrage est installé au niveau d'une intersection se trouvant au lieudit Qahouet Chergui. Le premier barrage et le deuxième sont séparés par à peine deux kilomètres. Toute cette partie de l'est de la capitale est cernée par les barrages. Avec la construction de nouvelles cités d'habitation réalisées dans le cadre de l'AADL et LPP, le nombre d'habitants est passé du simple au double en l'espace de quelques années seulement. D'où la nécessité de prendre des mesures pour le décongestionnement des voies. - Cité Kaïdi à Bordj El Kiffan : L'insalubrité perdure A Bordj El Kiffan, au lieudit Kaïdi, les vendeurs informels de fruits et légumes installés durablement dans cette fraction de la ville jettent leurs déchets à proximité de leurs camionnettes et dans un terrain agricole, qui n'est plus cultivé. Sur une étendue de plusieurs centaines de mètres, les sachets noirs et les bouteilles en plastique couvrent tout le périmètre. Outre les déchets laissés par les marchands, tout un tronçon de la route est envahi par les ordures ménagères entreposées dans les encoignures des maisons en attendant d'être ramassées par le service de la voirie de l'APC. L'absence d'hygiène a même atteint les édifices publics. La devanture d'une construction nouvellement réalisée par les autorités locales sert de dépotoir aux riverains. Ces derniers déposent leurs poubelles à cet endroit, maculant le mur d'enceinte et les espaces y attenant.