Hillary Clinton, des ancêtres français et un très lointain cousinage avec François Hollande La candidate démocrate à la présidence des Etats-Unis, Hillary Clinton, compte des ancêtres français disséminés dans une bonne quinzaine de départements et un très lointain cousinage avec le président François Hollande, révèle le généalogiste Jean-Louis Beaucarnot. Mme Clinton, née Rodham, descend en effet du côté maternel, via son arrière-grand-mère Delia Martin, de familles québecoises, dont les Belleperche et les Couillard, note-t-il dans son livre Dico des Politiques, paru jeudi aux éditions de l'Archipel. Elle compte ainsi non seulement des ancêtres lorrains, les Martin, originaires du village de Brouviller (Moselle) non loin de Sarrebourg, mais aussi dans 15 autres départements (Calvados, Charente-Maritime, Corrèze, Côte d'Or, Ille-et-Vilaine, Loire-Atlantique, Morbihan, Moselle, Orne, Paris, Sarthe, Seine-Maritime, Vendée, Hauts-de-Seine et Val-de-Marne). Par une branche, souligne M. Beaucarnot, elle cousine de très loin avec François Hollande, les deux responsables descendant en effet des «rois maudits» français. Elle a pour aïeul, à la 23e génération, le roi de France Louis X le Hutin, frère du roi Philippe V le Long, lui-même ancêtre de... M. Hollande. Par ses ancêtres installés au Québec, elle cousine encore avec les chanteuses Madonna et Céline Dion, ainsi qu'avec l'actrice Angelina Jolie. Rabat fait pression sur les archéologues étrangers L'archéologue espagnole Elia Quesada a affirmé samedi à Londres que les autorités marocaines faisaient pression sur les chercheurs étrangers, européens notamment, pour qu'ils incluent dans leurs travaux le patrimoine du Sahara occidental à celui du Maroc. Le régime marocain veut instrumentaliser les travaux d'archéologues marocains et fait pression sur les chercheurs étrangers pour qu'ils intègrent le patrimoine du Sahara occidental à leurs travaux et schémas relatifs au Maroc, a déclaré l'experte lors d'une conférence sur les arts rupestres au Musée de Londres. Les autorités marocaines convoquent des chercheurs étrangers sur les frontières limitrophes du Sahara occidental, dans la région de Guelmim, et les soumettent à des pressions, comme de nombreux présents à la rencontre de Londres en ont témoigné, pour ne pas séparer la carte du Sahara occidental de celle du Maroc dans leurs recherches, a-t-elle dit. L'archéologue espagnole a fait savoir que ses confrères ne faisaient pas cas de ces pressions et ne cédaient pas au chantage précisant qu'elle n'avait pas directement été sujette de tels agissements, mais qu'elle avait été destinataire à travers son compte personnel sur les réseaux sociaux des offres pour renoncer à ses recherches sur les arts rupestres dans les territoires sahraouis libérés. Secousse tellurique de 4,7 degrés à M'sila La secousse tellurique de magnitude de 4,7 degrés enregistrée samedi soir à Beni Ilmane dans la wilaya de M'sila, n'a causé «aucune perte humaine ni dégâts matériels», a assuré la Protection civile. «Aucune perte humaine ou dégâts matériels ne sont à déplorer suite la secousse qui a touché samedi soir la commune de Beni Ilmane», a indiqué le colonel Farouk Achour. L'épicentre de cette secousse de magnitude de 4,7 degrés sur l'échelle ouverte de Richter, enregistrée samedi à 21h43, a été localisée à 9 km au nord-ouest de Beni Ilmane au nord-ouest de la wilaya de M'sila. Le colonel Achour a indiqué qu'«un mouvement de panique a été enregistré chez les habitants», ajoutant que les éléments de la Protection civile continuaient leurs actions de reconnaissance.