Un professeur de français sans toit à la cité Aghoum (Djanet) Un enseignant de français au primaire Ben Aouda Ben Zerdjeb de la cité Aghoum, en plein centre-ville de Djanet, 400 km au sud d'Illizi, et qui totalise quatre ans d'expérience s'est retrouvé, la semaine dernière, sans toit. Le message a été partagé à de nombreuses reprises sur les réseaux sociaux. Abdesselem Ghedoui, attire l'attention sur son sort et interpelle le directeur de l'éducation ainsi que le ministère de tutelle à agir. « Voilà ce que mérite le prof de français a Djanet au grand sud Algérien. Un enseignant avec sa famille sans toit ? Où êtes-vous Mr le directeur de l'éducation ? Où êtes-vous Mme la ministre de l'éducation ?... » Lit-on dans sur sa page Facebook. Contacté par nos soins, Abdesselem explique : « Au début j'ai loué un appartement, maintenant le propriétaire veut sa maison et je n'ai plus de toit protéger ma famille. J'ai rencontré le secrétaire général du wali, le secrétaire général du chef de daïra ainsi que les inspecteurs de l'éducation de notre circonscription, mais pas de solutions !». Sur les réseaux sociaux on soutient et on dénonce cette situation qui prend de l'ampleur dans cette wilaya. Campagne de sensibilisation pour rationnaliser la consommation d'électricité Les sièges des agences commerciales de la société de distribution de l'électricité et du gaz du centre (SDC) d'Illizi, d'In Amenas et de Djanet ont abrité, trois jours durant, une vaste compagne de sensibilisation pour rationnaliser la consommation d'électricité. En fait, la sensibilisation et la communication occupe une place privilégiée dans la politique nationale de maîtrise de l'énergie et c'est l'outil indispensable pour la diffusion de bonnes pratiques dont l'objectif est d'inciter la population à agir pour une cause d'intérêt général en leur donnant des conseils à mettre en œuvre pour la rationalisation de l'utilisation des appareils gros consommateurs d'énergie électrique. Précise Mme Zohra Ouada, Chargée de communication de cette institution. Journée d'étude sur la loi de Finances 2017 Une journée d'étude sur la loi de finances 2017 s'est tenue, samedi, à l'amphithéâtre du secrétariat général de la wilaya d'Illizi. Organisée par la Chambre de Commerce et d'industrie de la wilaya d'Illizi, cette journée s'est animée par l'ancien ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, en présences des autorités locales et les représentants de la société civile ainsi que le directeur de la Chambre de Commerce, Seddik Ben Nasser. Lors de son intervention, M Abderrahmane Benkhalfa a expliqué que la loi de finances 2017 est une loi des formules équilibrées selon des procédures visant à promouvoir l'investissement et l'abandon des dépenses publiques. Concernant les taxes approuvées par la loi de finances 2017, l'ancien ministre des Finances a souligné que, à l'exception de la taxe sur l'énergie visant la conservation de l'énergie, la taxe sur la valeur ajoutée ne touchera pas les secteurs sociaux et que le pouvoir d'achat des citoyens restera garanti. Il a ajouté que la loi de finances 2017 a pour but de maîtriser la pression fiscale sans compromettre les incitations à l'investissement et l'épargne. La loi des Finances 2017 est très importante pour l'avenir des trois prochaines années et l'objectif de l'économie algérienne est d'atteindre la phase de décollage avec un taux de croissance de 7% en 2021 et 10% au cours de la phase de remontée en 2030. Explique-t-on