Découverte du cadavre d'une femme à El Mohgoun Il ne se passe pas un jour sans que les éléments de la Protection civile soient saisis de la découverte macabre de personnes de tous âges et de tous sexes. C'est le cas cette fois d'une femme de 57 ans qui gisait sans vie dans son domicile à la cité 11 Décembre à El Mohgoun. Les pompiers ont constaté le décès et évacué le corps de la victime à la morgue de l'hôpital d'El Mohgoun. H. S. Une moto prend feu : 19 suffocations à Oued Tlélat Avant-hier à 19h50, une moto de grosse cylindrée qui était garée dans le sous-sol d'un bâtiment R+9, a pris feu. L'épaisse fumée qui se dégageait a provoqué la suffocation de plusieurs résidents, dont 9 femmes, 8 hommes, 1 enfant et 1 nourrisson. Les éléments de la Protection civile intervenus sur les lieux ont prodigué les premiers secours à ces habitants qu'ils ont ensuite dirigés en urgence vers l'hôpital d'Oued Tlélat. La moto a été entièrement calcinée. H. S. Une mère condamnée à trois ans de prison pour infanticide La dénommée M.S., accusée dans une affaire d'infanticide et destruction de preuves, a été jugée en appel, hier, par le tribunal criminel d'Oran. Suite aux délibérations, la peine de 3 ans de prison ferme prononcée en première instance a été retenue contre elle, alors que le représentant du ministère public avait requis 5 ans de réclusion. Le 2 octobre 2016, cette mère de famille se présente aux éléments sécuritaires, déclarant qu'elle a tué son nouveau-né et l'a enterré dans sa cuisine en donnant des détails précis sur les faits. Une enquête est ouverte et des fouilles au niveau de son domicile, sis à Saint-Antoine, sont entreprises. Aucune dépouille ne fut trouvée. Mais, elle continuera à insister, ajoutant qu'ayant subi une césarienne pour accoucher, elle quittera la clinique privée où elle a été admise en prenant avec elle son nouveau-né qu'elle enveloppera dans une couverture. Chez elle, elle mettra le nouveau-né sur le lit d'où il chutera et décédera. Elle se rétractera et expliquera avoir confié son nouveau-né à une nourrice chez qui il décédera suite à une infection qu'il contractera après sa circoncision, «c'est cette nourrice qui me l'a confirmé». Citée à la barre du tribunal criminel, M.S. maintiendra ses déclarations. Beaucoup de contradictions et de zones d'ombre dans cette affaire, la mise en cause a-t-elle subi une dépression ? La défense dira : «On ne peut parler d'infanticide si on n'a pas le corps du délit. Cette femme qui souffre d'un traumatisme crânien après avoir été battue par son ex-époux, se trouve sous traitement neuroleptique.» Citant le Tégrétol, dont les effets secondaires sont très lourds, elle plaidera la non-culpabilité de sa cliente. S. M.
Plus de 28 000 euros non déclarés saisis en 2017 Les douaniers du port d'Oran ont saisi, au titre de l'année 2017, un montant de 21 250 euros, que des voyageurs n'ont pas déclarés lors des formalités d'embarquement ou de débarquement. Au niveau de l'aéroport international Ahmed Benbella, ce sont 7480 euros non déclarés qui ont été aussi confisqués lors du traitement des passagers en partance ou en provenance de l'étranger. Il s'agit d'une infraction à la législation des changes. Au total, ce sont 28 730 euros que des voyageurs n'ont pas déclarés qui ont été saisis au port et à l'aéroport. Dans ce cadre, pour mieux vulgariser ces mesures prises par les services des Douanes, des dépliants ont été mis à la disposition des passagers pour les renseigner sur le seuil des bagages autorisé et surtout sur les produits prohibés à l'importation et à l'exportation en plus des marchandises devant être déclarées, à l'exemple des bijoux et de l'argent. Dans ce registre, on saura que près d'un kg d'or et plus d'un kg d'argent non déclarés ont été saisis à l'aéroport international Ahmed Benbella. F. A.