La réforme bancaire… version BNA Une cliente, qui s'apprêtait à voyager, s'est présentée hier matin au guichet de l'agence BNA du boulevard Didouche Mourad pour faire valoir son droit à l'allocation voyage (près de 170 euros) a eu une réponse pour le moins inattendue. « Vous ne pouvez pas faire le change parce qu'on n'a pas encore reçu les cours de change de devises », lui a annoncé l'opérateur au guichet !!!! Pourtant, ces même cours ont été publiés dans l'édition d'El Watan de dimanche dernier. Plus grave encore, le même agent lui conseille d'aller au marché parallèle pour effectuer le change « puisque c'est pratiquement le même taux de change qui est pratiqué ». Sans commentaire !!! Le parcours du combattant pour un extrait de naissance à Blida Pour se faire délivrer l'extrait des actes de naissance n°12 à Blida, il faut se lever de bonne heure (au propre comme du figuré). En effet, bien avant l'ouverture des bureaux du siège de l'APC, la chaîne se forme. Si vous perdez patience, vous n'aurez jamais le fameux document. C'est malheureux qu'à l'ère de la révolution médiatique, le citoyen algérien est toujours martyrisé pour un simple document administratif. Ce problème dure depuis un bon bout de temps et les responsables concernés n'ont pas pensé à lui trouver une solution. Jusqu'à quand ? 33% d'analphabètes dans les pays arabes Le taux global d'analphabétisme enregistré dans les pays arabes durant l'année 2006 s'élève à 33%, a relevé hier à Alger la secrétaire générale adjointe des affaires sociales de la Ligue des Etats arabes, Mme Nancy Bakir. « Le taux des analphabètes chez les populations des pays arabes, dont l'âge dépasse les 10 ans, s'élève à 33%, alors qu'il a atteint les 50% chez les femmes », a précisé Mme Bakir lors de la session ordinaire du Conseil exécutif du réseau arabe d'alphabétisation et d'enseignement des adultes (RAAEA), organisée à l'initiative de l'Association algérienne d'alphabétisation Iqraa, en présence de la ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi. Précisant que le taux d'enseignement obligatoire dans les pays arabes (plus de 315 millions d'habitants) est de 77%, la représentante de la Ligue arabe a déploré, toutefois, que « 12 millions d'enfants ne soient pas scolarisés dans ces pays ». Pour sa part, la présidente d'Iqraa et présidente du RAAEA, Mme Aïcha Barki a souligné, à cette occasion, que l'analphabétisme en Algérie est « en permanente baisse » atteignant ainsi les 21,39% en 2005, alors qu'il était de 85% en 1962. Omar Azeb quitte le Qatar pour les Emirats arabes unis L'entraîneur algérien Omar Azeb a quitté la formation d'El Arabi (1re division qatarie de handball) pour rejoindre l'équipe d'Ennasr (1re division des Emirats arabes unis), a rapporté le journal saoudien El Watan édité à Doha sur son site internet. Omar Azeb avait, rappelle-t-on, conduit le club d'Ennasr à un triplé historique lors de la saison 2003-2004, en remportant le championnat, la coupe et la supercoupe des Emirats arabes unis. Le technicien algérien avait dirigé El Arabi durant deux ans. Il a été remplacé par Djamel Sadkouvic, précise la même source. Une vague de froid fait 40 morts au Maroc Le bilan de la vague de froid qui sévit dans la région de Khenifra, dans l'Atlas marocain, s'est encore alourdi pour atteindre 40 morts. La liste des victimes de la vague de froid qui sévit depuis décembre, dans les zones montagneuses de Khenifra s'est encore allongée samedi avec le décès au douar Anfgou d'un bébé de quatre mois pour atteindre 40 personnes. Selon le quotidien Essabah, les populations de quatre douars (Anfgou, Targhiss, Tighdiouine et Aghdou) dépendant de la commune de Tounfite, sont particulièrement menacées par la vague de froid qui sévit dans la région, mais surtout du fait de leur isolement. Les notes de Saddam intéressent l'armée américaine Les notes manuscrites et les poèmes écrits par l'ancien président irakien, Saddam Hussein, durant sa détention, ont été confisqués par l'armée américaine pour les « passer au crible », a indiqué l'un de ses avocats. « Les Américains veulent les passer au crible et les lire entièrement avant de nous les donner », a indiqué l'avocat jordanien Issam Al Ghazzawi. Saddam Hussein, qui a été pendu le 30 décembre 2006 à Baghdad, a produit plusieurs livres et de nombreux poèmes tout au long de sa vie. M. Ghazzawi a dit s'être renseigné auprès des autorités américaines à Baghdad au sujet du Coran, dont l'ancien président irakien ne se séparait jamais pendant son procès. Le plus vieux pasteur du Nigeria se remarie à 107 ans Le plus vieux pasteur protestant du Nigeria, le révérend Samuel Akinbode Sadela, 107 ans, a pris, la semaine dernière, pour épouse et en troisièmes noces, Christiana, âgée de 30 ans, a-t-on appris dimanche auprès de ses paroissiens. Selon les fidèles, le pasteur a déclaré à cette occasion qu'il tirait sa vigueur directement de Dieu. « Dieu est ma force. Je suis plein de force et d'énergie », aurait-il dit après la cérémonie qui s'est déroulée à Lagos. Le pasteur, fondateur de la Gospel Apostolic Church (Eglise apostolique de l'évangile), officie depuis 75 ans. Il s'était marié une première fois en 1934 et au cours des 21 ans qu'a duré cette union, tous les sept enfants qu'il a eus sont morts jeunes. Après son deuxième mariage, en 1965, il a encore eu quatre enfants, dont deux seulement ont survécu. Sa deuxième épouse est décédée en 2001. « L'union de 2007 avec Christiana Sadela est l'accomplissement des Ecritures et est l'occasion de rendre grâce à Dieu et de témoigner que pour celui qui marche avec zèle et sincérité devant le Seigneur rien n'est impossible à Dieu », écrit l'Eglise dans un communiqué officiel. Une Egyptienne obtient le divorce pour usage intempestif d'un désodorisant Une Egyptienne a obtenu le divorce de son époux qui lui imposait l'usage intempestif d'un désodorisant d'intérieur à l'essence d'aloès, rapportait dimanche la presse. Le tribunal des affaires conjugales de Mahdi, une banlieue résidentielle du Caire, a accordé ce divorce à Souad qui a affirmé, certificats médicaux à l'appui, que ce désodorisant lui déclenchait une allergie aux bronches. « J'aime mon mari et ne souhaite pas le quitter, mais il ne veut pas arrêter d'utiliser ce désodorisant dont il dit que l'odeur lui est familière depuis sa petite enfance », a expliqué Souad aux juges. Le tribunal s'est finalement rangé à son argument d'autant que l'époux, un Soudanais prénommé Hussein, a refusé par trois fois de répondre à une convocation pour plaider son cas.