Les taxis clandestins s'imposentDepuis le début du Ramadhan, les taxis clandestins ont mis les bouchées doubles, notamment durant la soirée où la demande sur les moyens de transport est élevée. Dans certains quartier de la capitale, ces taxis sont encore plus nombreux que ceux réguliers. Pratiquant des prix au « pifomètre », les « clandos » ont au moins le mérite d'être là, lorsque les autres moyens de transport font défaut. Il faut dire que la rareté des taxis et leur cherté surtout ainsi que les retards accusés par les bus font que beaucoup de personnes se rabattent sur les taxis clandestins. Ces derniers qui semblent de plus en plus nombreux ont visiblement décidé de prendre les choses en main durant le Ramadhan.