Le CNES de l'USTO devra se réunir pour décider de la tenue ou pas de la grève illimitée décidée suite au « refus de l'administration de porter plainte contre l'agresseur du coordinateur du tronc commun », qui, signale-t-on, a été condamné mardi dernier à un an de prison ferme. Les enseignants, qui ont déjà observé un arrêt de travail de trois jours suite à cette agression, veulent, à travers ces mouvements de protestation, imposer la sécurité des enseignants au sein de l'université.