Les voies de circulation à l'intérieur de Aïn El Kebira sont dans un état catastrophique. Il est difficile de circuler dans la cité, aussi bien en véhicule qu'à pied, surtout par temps de pluie. Nids-de-poule, ornières, crevasses, dos d'âne, monticules, tranchées… font le supplice de l'automobiliste. L'expansion du village a donné naissance à de nouvelles constructions qui ont besoin de nouvelles routes, mais rien n'a été fait pour que ces voies méritent leurs noms. La boue est le lot quotidien de Aïn El Kebira dès les premières gouttes de pluie ; les habitants se sont habitués à patauger durant ces périodes de l'année. « L'Etat a engagé de grandes sommes dans un programme de réhabilitation des routes et voies de circulation ; 2,4 milliards de dinars pour la wilaya de Sétif, et Aïn El Kebira en a bénéficié comme les autres daïras. Pourquoi donc rien n'est fait pour notre cité ? », s'interrogent les habitants de Aïn El Kebira.