Sonelgaz d'Es-Sénia : Des contraintes pénibles à supporter Même si les conditions d'accueil du public sont plus commodes qu'autrefois, l'agence Sonelgaz de la daïra d'Es-Sénia, trop étroite, ne facilite nullement la tâche à ses clients, avec les inévitables chaînes auxquelles ils sont soumis pendant plusieurs jours. La Sonelgaz est pourtant connue pour être parmi les rares entreprises à respecter encore les usagers. Ces derniers, dont beaucoup viennent parfois des localités environnantes de la daïra, souhaitent que la Sonelgaz multiplie les guichets au niveau de son agence locale d'Es-Sénia et crée d'autres services publics à travers les autres quartiers de la ville et des hameaux les plus reculés de la daïra. Une personne âgée victime d'un vol dans une mosquée Les vols se sont multipliés ces derniers temps dans la capitale de l'Ouest. Et même les lieux de culte ne sont pas épargnés. Avant-hier, vers 12 h 45, un homme dénommé H. A., âgé de 65 ans et demeurant à Haï El Amir, a été victime du vol de sa veste en cuir, qui contenait sa CNI, son permis de conduire, son carnet de chèques, sa montre et son téléphone portable. La malheureuse victime s'est rendue compte que sa veste a disparu au moment où elle se trouvait dans la salle des ablutions d'une mosquée du centre-ville. Après les vols des chaussures, certains énergumènes sans scrupules n'hésitent pas à profiter de la naïveté des hommes âgés pour les déposséder de leurs biens les plus précieux, à l'intérieur même des mosquées. Les fidèles ne savent plus à quel saint se vouer. 38 harraga devant le juge 38 harraga ont comparu hier devant le tribunal correctionnel d'Es Seddikia pour tentative d'émigration clandestine. Deux candidats à l'émigration clandestine ont été surpris par les membres de l'équipage d'un navire à quai au port d'Oran. À la barre des accusés, ils ont été unanimes à invoquer le chômage pour justifier leur acte. Les avocats ont mis en exergue la déplorable situation sociale de leurs mandants respectifs avant de demander l'acquittement en leur faveur. Le représentant du ministère public a requis une peine de six mois de prison avec sursis pour chaque prévenu.