Le problème récurrent des loyers impayés se pose aussi à l'OPGI de Chlef, dont la facture s'élève à 50 milliards de centimes. Il s'agit d'impayés datant de plusieurs années et pour lesquels la direction actuelle de l'office a engagé une série de mesures pour pouvoir les recouvrer progressivement. Toutefois, selon le directeur de l'OPGI, les locataires concernés tardent à se manifester et doivent honorer leurs dettes, sous peine d'être poursuivis en justice. D'ores et déjà, il nous apprend que la procédure est en cours en vue de récupérer ce montant. Le plus gros des créances concerne les occupants des logements en préfabriqué construits suite au séisme d'octobre 1980, auxquels s'ajoutent les bénéficiaires des logements de fonction au niveau de l'université de Chlef. L'Algérienne des Eaux détient, elle aussi, des créances importantes sur les consommateurs de la région.