Native de Rome où elle vit et y travaille, Lidia Riviello débute dans l'écriture journalistique en collaborant avec des titres littéraires tels que Italian poetry, une revue poétique, on-line, bilingue (italien/anglais) et l'hebdomadaire Avvénimenti. Lidia Riviello est, aujourd'hui, consacrée par l'affection admirative de son Italie, par l'estime de tous ses lecteurs ; « Je vérifiais qu'il n'existait pas de contre-indications lorsque tu m'as embrassée pour ne pas devoir interrompre la question du rose Extraordinaire. Tu me répétais aussi La rose extraordinaire venait de la poudre D'un type de mur Qui, a la renaissance, était appelé Le jamais creusé » Sa formation et ses goûts font d'elle l'incarnation de la tradition distinguée. Elle est d'une famille solidement ancrée dans la vertu et dans… la poésie ! En effet, son père est l'un des plus grands poètes italiens vivants. Dernièrement, (exactement le 2 février 2008), on lui a rendu un grand hommage à Rome. La soirée, à laquelle j'ai assistée, était tout simplement mémorable et haut en couleur et en… poésie. En Italie, Lidia Riviello est privilégiée aussi par l'étendue et le cosmopolitisme de sa culture. Elle ne cache pas aux Italiens qu'elle aime et vit avec l'écrivain algérien Amara Lakhous, ce romancier venu de la lointaine Kabylie. Elle dit de lui : « Dans la post-modernité, nous avons dépassé en sens contraire La question du rose extraordinaire. En quelques mots, tu ne m'as plus embrassée Par « peur d'être mangé » ou bien parce que ces choses-là se font « La nuit ». Le succès, l'ambition, la facilité de la plume de Lidia Rivillo l'amènent tout doucement à devenir poète de profession et la place est à prendre poètesse internationale ! En 2008 (janvier), L. Riviello a reçu le Prix de l'édition du Festival de poésie Antonio Delfini, un prix convoité par tous les jeunes poètes italiens.