A l'issue de la conférence consacrée à « Regards de femmes sur l'Islam » organisée jeudi par le Club des journalistes algériens de France, la sociologue Leïla Babès a demandé, avec l'approbation générale et sous les applaudissements de la salle, à ce qu'on n'oublie pas les journalistes algériens et « qu'on se mobilise pour les deux journalistes d'El Watan, Omar Belhouchet et Chawki Amari, condamnés à deux mois de prison ferme, et au-delà, pour tous les journalistes algériens. La situation est très grave. Qu'on fasse quelque chose pour en finir avec cette chape de plomb ».