La pollution de oued El Djemaâ, à cause d'une décharge sauvage, une importante quantité de bouteilles en verre jetée dans un espace censé être vert au niveau de la cité du 11 Décembre, la pollution atmosphérique, causée par une carrière de gravier, et les camions transportant ce matériau sont autant de phénomènes « lugubres » qui caractérisent la localité de l'Arbaâ. Cela n'a pas laissé indifférent le bureau local de l'association écologique Chlorophylle de Blida pour tirer la sonnette d'alarme et sensibiliser les pouvoirs publics quant aux dangers découlant de ces phénomènes sur dame nature et la santé de l'individu. D'ailleurs, et à l'occasion de la Journée internationale pour la protection de l'environnement, le jardin de la placette publique de la commune a accueilli une journée portes ouvertes sur l'environnement, où les responsables locaux ont eu des explications, des photos et affiches à l'appui, sur la pollution et la dégradation de l'environnement dans la ville et l'urgence de s'impliquer pour sauver une région, située pourtant en pleine Mitidja. La bonne volonté des adhérents de l'association se heurte malheureusement au manque de moyens et surtout d'un local.