200 femmes patriotes au niveau national. 50 % des patriotes sont chômeurs après avoir rejoint les rangs de la résistance. Le Président de l'Organisation nationale pour la Défense des combattants du terrorisme, Moufok Saadoun Noureddine, a révélé hier, que le Statut de la police communale sera prêt prochainement après l'accord du Ministère de l'intérieur pour la titularisation des patriotes avant les élections présidentielles. Le Président de l'organisation nationale pour la défense des patriotes a, lors d'un entretient avec « Ennahar » déclaré qu'il avait écrit au Président de la République lui demandant de hâter l'élaboration d'une loi qui donnerait un statut au patriote, loin de toute indemnisation, attendu que 50% des patriote souffrent du chômage après avoir perdu leurs postes de travail durant la période où ils ont rejoint les rangs de la résistance, en signalant que l'avant projet de la loi comprend la titularisation des patriotes en exercice et ceux non réintégrés et l'intégration la période de la résistance durant la décennie noire comme une période comptabilisée dans la retraite. La demande de l'élaboration du Statut des patriotes a été présentée au Parlement. Moufok Saadoun a par ailleurs affirmé que les victimes, blessés dans des opérations terroristes et opérations de ratissage ont bénéficiés de la régularisation de leurs situations par les autorités de la tutelles qui leurs a octroyée des indemnités pécuniaires, et d'ajouter que la pension qui est de 11 mille dinar actuellement sera augmentée au niveau de 24 mille dinars, ceci en plus de l'assurance des patriotes, en justifiant le recensement de plus deux million entre autodéfense dont le nombre est estimé à 80 mille et légitime défense à plus de un million d'élément et 200 femmes patriotes au niveau national malgré que la loi sur la réconciliation nationale ait touché toute les catégories, la catégorie des patriotes reste exclue des privilèges de cette loi, affirmant que les patriotes ont soutenu l'idée de prendre en charge d'abord les terroristes, et que leur revendications seraient prises en charge et le règlement de leurs problème qui restent toujours suspendus jusqu'à nos jours.