Le premier ministre a tenu à préciser l'impossibilité d'effacement des dettes contractées par les jeunes investisseurs dans le cadre de l'Agence national de soutien à l'emploi de jeunes (Ansej) Dans une déclaration à Ennahar, hier, en marge de la conférence de presse qui a suivie les travaux de la tripartite, le premier ministre a fait savoir que l'effacement des dettes contractées par les jeunes investisseurs dans le cadre de l'Ansej n'était pas à l'ordre du jour. La déclaration du premier ministre vient confirmée celle du ministre des finances, Karim Djoudi, quant à l'impossibilité d'effacer les dettes des jeunes investisseurs de l'Ansej. Le ministre a alors indiqué que les banques devraient récupérer les fonds octroyés aux jeunes sous formes de crédits pour la création des petites et moyennes entreprises. La déclaration du ministre intervient pour mettre un terme aux rumeurs sur la question. Selon les chiffres avancés par Ouyahia, 15.000 dossiers ont été traités et leurs propriétaires ont bénéficiés de crédits depuis janvier dernier, et 200.000 jeunes intégrés dans le cadre du pré-emploi dans des entreprises économiques et administratives.