Le nouveau long métrage « Parfums d'Alger » du réalisateur Rachid Benhadj, projeté jeudi en soirée, à Alger, a mis en avant, le quotidien de Karima, une jeune et célèbre photographe qui a quitté son pays et sa famille pour aller travailler en France. Des années après son père est agonisant et elle doit rentrer pour rester à son chevet. Pendant une heure de temps, l'histoire de ce film, retrace le retour forcé de Karima parmi ceux qui l'ont vu naître et grandir. Sa famille qu'elle a quitté et fui pour échapper à cette oppression paternelle, va réveiller en elle les fantômes du passé. Un grand nombre de comédiens participe à ce film produit par l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) et la société « Net Diffusion », et avec le soutien du ministère de la Culture sur avis de la commission de lecture du FDATIC. Ce film est déjà sélectionné dans plusieurs festivals internationaux tels que celui d'Abu Dhabi qui se déroule jusqu'au 20 octobre prochain. Ce film est présenté comme un message destiné à la jeunesse. Un message porteur d'espoir. Ce dernier est illustré par des séquences parfois difficiles mais souvent puisées d'un quotidien réel.