« L'Algérie n'a pas demandé la repentance de la France pour ses crimes commis durant la colonisation. C'est ce qu'a indiqué, jeudi, le premier ministre lors de son intervention devant les représentants de la société civile. Pour lui, le principe de repentance est une question purement religieuse. Il ajoute que l'Algérie tient à ce que la France reconnaisse ses crimes, commis lors de la période coloniale. »