Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et son homologue malien, Ibrahim Boubacar Keïta, ont réitéré, hier, à Alger, leur « ferme » condamnation du paiement des rançons qui participe au financement du terrorisme. « Les deux chefs d'Etat ont réitéré leur ferme condamnation de la pratique de paiement des rançons qui participe au financement du terrorisme et réaffirmé leur volonté de contribuer à la libération des otages », indique un communiqué commun ayant sanctionné la visite d'amitié et de travail du président Keïta en Algérie. Au cours de son séjour en Algérie, le président Keïta a procédé avec le président Bouteflika à « un échange d'informations sur les réformes politiques et économiques engagées par l'Algérie et le Mali, passé en revue l'état de leur coopération bilatérale et examiné les voies et moyens de la redynamiser dans l'intérêt des deux peuples frères », a ajouté la même source.