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Epreuve nationale classante d'accès au résidanat : «Il n'est pas question de brader la formation », souligne Moussa Arrada
Publié dans Horizons le 27 - 10 - 2010


79 médecins candidats au résidanat regroupant les facultés de médecine d'Alger et de Tizi-Ouzou observent un sit-in depuis deux jours au niveau de Laperrine (Alger). La cause ? La non-affectation par le jury du concours annuel lancé par ces deux facultés de médecine, de ces médecins prétendants au résidanat. Ce sit-in est motivé, selon B. Amina et N. Leila, par le fait que «ce concours national classant doit prendre tous les médecins résidents jusqu'à l'épuisement des postes ouverts. Ces derniers sont au nombre de 1242. Après l'affichage des résultats, seulement 1163 postes ont été accordés dans les différentes spécialités. Sur les 79 postes restants, 80 autres médecins résidents se sont désistés pour une raison ou une autre. Ce qui fait un total de 159 postes qui sont actuellement vacants alors qu'ils sont budgétisés. Cet état de fait a suscité le courroux des candidats au résidanat qui ne savent pas à quel saint se vouer pour régler ce problème qui dure depuis 3 jours. Ils ne comprennent pas, non plus, pourquoi le concours du fait qu'il est classant n'a pas pris en compte les services des hôpitaux qui vont être ouverts et non pourvus de spécialistes. N. Leila, en tant que déléguée, réclame «un peu plus de transparence et l'assistance des étudiants car c'est un concours national qui est préparé durant une année». Elle ajoutera qu'«aucun résident n'a été pris dans la spécialité de la pharmacologie et dans d'autres spécialités comme la médecine légale, sur 12 postes, seulement deux médecins ont été retenus». Ce médecin s'est demandé «comment vont être gérés les services sans spécialistes dans les hôpitaux ?». Dans un premier temps, ces médecins « recalés » ont saisi par écrit les ministères de la Santé, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ainsi que le doyen de la faculté de médecine d'Alger et d'autres instances. Pour le doyen de la faculté de médecine d'Alger, les choses sont on ne peut plus claires. M. Moussa Arrada ne va pas avec le dos de la cuillère. «C'est en fonction de la moyenne, qui est un standard international, qui a été prise en compte», a-t-il indiqué. Et d'ajouter : «N'importe quel examen (sixième, brevet, baccalauréat) est reçu avec une note égale ou supérieure à la moyenne. En ce qui concerne la médecine, il faut obtenir un 10 sur 20. «Je ne conçois pas la médiocrité car il s'agit de former des médecins qui vont soigner la population», n'a-t-il cessé de marteler. Pour ce doyen, il n'est pas question de brader la formation en sciences médicales. «Si le ministère ouvre des postes, moi je donne des médecins de qualité et non en fonction de la quantité. Le poste ne doit pas être donné mais mérité. Par ailleurs, le jury est composé de neuf professeurs de différentes spécialités qui a décidé de la moyenne et de la répartition des postes en séance publique et les postes restants ne sont pas perdus», a-t-il expliqué.

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