Résumé de la 47e partie n L'ogresse, qui aide la veuve depuis plusieurs années, a décidé de ne plus revenir. Elle exige, en guise de remerciement, le fils aîné de la veuve. L'ogresse sort un sac de la poche de sa robe et s'approche du fils aîné de la veuve. — Laisse-moi le réveiller, dit la veuve, et lui dire adieu, ensuite, tu pourras l'emporter ! — J'attends dans la cour de la maison, dit l'ogresse, quand tu auras fini, tu me l'amèneras ici, mais fais vite ! Tandis que l'ogresse attend dans la cour, la veuve réveille vite son fils et lui explique la situation. — Je dois la suivre, dit le jeune homme, autrement, elle nous mangera tous.... — Alors, écoute-moi, dit la mère, dès que tu arriveras chez elle, précipite-toi sur elle, déchire sa robe, saisit son sein et porte-le à la bouche, comme si tu la tétais... — pourquoi ? demande l'adolescent. — Tu deviendras ainsi son fils de lait et elle ne pourra pas te manger ! — tu en es sûre ? — Je pense que les ogres ont également des lois, et que la parenté par le lait est aussi importante pour eux que la parenté par le sang ! Dès que tu auras l'occasion, échappe-toi et viens nous retrouver ! — Je ferai ce que tu me dis, dit le jeune homme. Il embrasse sa mère, il réveille ses deux frères pour leur dire adieu et va retrouver l'ogresse, qui commence à s'impatienter dans la cour. — Pas trop tôt, lui dit-elle. Elle saisit le jeune homme, le fourre dans son sac qu'elle jette sur son épaule. Elle marche longuement, presque toute la journée, avant d'arriver chez elle. Elle habite dans une grotte qu'elle a aménagée en maison. Elle ouvre le sac et elle en sort sa proie. — Bienvenue chez moi, chaire fraîche, voilà longtemps que j'attendais ce jour ! Elle se lèche déjà les babines. Mais le jeune garçon, revenu de sa surprise, se rappelle la recommandation de sa mère. Ali, lui, a peur, mais il parvient à se dominer. — pourquoi veux-tu me manger ? — c'est le propre des ogres de manger les hommes ! — mais tu as aidé ma mère pendant des années ! L'ogresse le couve du regard. — c'est vrai, mais comme je vous voyais grandir, j'ai eu envie de l'un de vous ! — et pourquoi m'as-tu choisi ? — parce que tu es l'aîné et le plus gras ! — alors, tu veux me manger ? — oui ! Ali se lève et se précipite sur l'ogresse. Celle-ci, surprise par l'attaque, n'a pas le temps de réagir. Cela laisse à l'adolescent le temps de lui déchirer la robe et de faire jaillir son sein. Un sein gros comme une outre !— arrête ! Mais avant que l'ogresse ne revienne de sa surprise, il a déjà saisi le téton et s'est mis à le sucer. L'ogresse le repousse et le fait tomber. (à suivre...)