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Cela s'est passe un jour/ Aventures, drames et passions celebres
Les criminels à travers l'histoire (45e partie)
Publié dans Info Soir le 24 - 04 - 2010

Procédé n Au XIXe siècle, les Etats-Unis veulent moderniser leur système d'exécution ; ils demandent à Thomas Edison d'inventer une machine.
En 1887, l'Etat de New York s'est adressé à Thomas Edison, lui demandant de songer à la mise au point d'un «procédé scientifique» d'exécution des condamnés.
La pendaison paraissait obsolète, et comme on était au siècle de la science, on voulait procéder à une modernisation, voire à une «humanisation» des procédés de mise à mort des criminels. Un procédé à la fois efficace et peu coûteux.
Le gouverneur de l'Etat explique à l'illustre savant son idée.
«Les Etats-Unis sont à la pointe du progrès, il faut que dans ce domaine aussi nous passions pour des pionniers !»
Différents procédés ont été utilisés, au cours de l'Histoire, pour exécuter les condamnés. L'un des plus ancien est la lapidation qui consiste à lancer des pierres au condamné jusqu'à le tuer. Un autre ancien mode d'exécution est la décapitation. Il a été longtemps une pratique militaire, en cours de guerre, pour se débarrasser des prisonniers. Puis, il est devenu un mode d'exécution judiciaire. Ce mode d'exécution est encore employé dans des pays comme l'Arabie saoudite et l'Iran. En Europe, il a persisté jusqu'à la fin du XIXe siècle. En Belgique, la dernière exécution aurait eu lieu à Ypres.
Ce jour-là, le bourreau du roi avait frappé si violemment de son épée que la tête du condamné – un certain Kesteleyn – a roulé entre les jambes d'un homme qui est -de peur !- devenu fou. Le roi des Belges a alors décidé d'interdire la décapitation.
Quelques décennies plutôt, les Français, qui ont connu aussi des difficultés avec la décapitation, ont songé à améliorer ce procédé, à mettre au point un instrument qui parvienne à trancher la tête d'un coup, en un temps très rapide, de façon à éviter une trop grande souffrance au supplicié. Il faut dire qu'à l'époque (avant la Révolution française) les moyens utilisés, comme la décapitation, la pendaison ou l'écartèlement imposaient effectivement de longues souffrances.
C'est un médecin, professeur d'anatomie à la faculté de Paris, Joseph Ignace Guillotin, qui a imaginé cette machine qui va porter son nom : la guillotine. Composé de deux montants verticaux, unis par une traverse et comportant des rainures. Un couperet placé au haut de la machine est maintenu à l'aide d'une corde : dès qu'on la relâche, il tombe d'un coup, sectionnant le cou du condamné, attaché sur une planche. En fait, Guillotin – et il l'avouera lui-même – s'est inspiré d'une machine, la mannaia. La France a gardé ce moyen d'exécution jusqu'à l'abolition de la peine de mort. En Angleterre et dans d'autres pays d'Europe, on recourait à la pendaison.
Les armes à feu ont surtout été utilisées en temps de guerre et beaucoup de pays dans le monde ont conservé ce moyen, aussi bien pour exécuter des soldats ou des officiers que des civils, les tireurs étant toujours des militaires.
Edison a d'abord refusé la proposition du gouverneur, car il est opposé à la peine de mort et trouve odieux tous les procédés d'exécution, qu'ils soient traditionnels ou modernes.
Mais comme il a un compte à régler avec un vieil adversaire qui le concurrence au plan de la science, il accepte. Cet adversaire, George Westinghouse, a réalisé des succès dans le domaine de l'électricité, et «cette machine de mort» peut le discréditer. (à suivre...)


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