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Suspense
Rendez-vous à Bagdad (55e partie)
Publié dans Info Soir le 27 - 10 - 2010

Résumé de la 54e partie n Dakin rejoint sa chambre pour mieux commencer sa veille...
Victoria s'était promis de faire une bonne nuit et d'oublier ses soucis jusqu'au lendemain matin. Mais comme elle avait dormi une grande partie de l'après-midi, le sommeil la fuyait.
Quand elle en eut pris son parti, elle fit la lumière et s'occupa.
Elle termina la lecture d'une nouvelle qu'elle avait commencée dans l'avion, elle essaya ses bas de nylon, elle rédigea quelques projets de «demande d'emploi», puis écrivit à Mrs Hamilton Clipp deux ou trois lettres, qu'elle déchira, les histoires qu'elle avait imaginées pour expliquer à la brave dame pourquoi elle était «en panne» à Bagdad ne lui ayant pas donné satisfaction. Elle essaya une nouvelle coiffure ; et finalement un bâillement lui ayant révélé qu'elle avait enfin sommeil, elle se recoucha.
Presque aussitôt, la porte de sa chambre, brusquement ouverte, livrait passage à un homme qui se retourna pour la fermer à clé derrière lui.
— Au nom du ciel, murmura-t-il, cachez-moi ! Vite !
Victoria avait toujours eu des réactions rapides. D'un coup d'œil, elle avait enregistré l'essentiel : l'essoufflement de l'homme, sa voix qui s'entendait à peine, la façon enfin dont sa main se crispait sur le vieux foulard rouge qui lui couvrait la poitrine. La pièce ne comportait que peu de cachettes possibles. Victoria, pensant aux jeux de son enfance, songea tout de suite à la meilleure : le lit, qui était très vaste.
— Dépêchez-vous, dit-elle.
Elle se leva, écartant les couvertures, et fit entrer l'homme dans le lit. Elle le couvrit, jeta deux oreillers par-dessus et s'assit sur le bord du lit. Au même instant, on frappait à la porte :
— Qui est là ?
Une voix d'homme répondit :
— Ouvrez, c'est la police !
Victoria endossa sa robe de chambre et se dirigea vers la porte. Apercevant sur le plancher le foulard rouge de son mystérieux visiteur, elle le ramassa et le glissa vivement dans un des tiroirs de la commode. Après quoi, elle ouvrit. Elle se trouva devant un jeune homme aux cheveux très noirs, en veston gris clair. Derrière lui, se tenait un policier en uniforme.
— Qu'est-ce qui se passe ? demanda-t-elle d'une voix qu'elle faisait trembler exprès.
Le jeune homme répondit, dans un anglais très passable :
— Nous sommes, mademoiselle, désolés de vous déranger à une heure pareille, mais nous poursuivons un criminel qui s'est évadé. Il est entré dans l'hôtel et nous jetons un coup d'œil dans les chambres. C'est un individu extrêmement dangereux...
— Mon Dieu !
Victoria ouvrit la porte toute grande et fit entrer les policiers. Leur inspection ne dura qu'un instant.
— Il n'est pas ici.
— Vous êtes sûrs ? Evidemment, j'ai fermé ma porte à clef avant de me mettre au lit, mais... (à suivre...)


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