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Suspense
Les pendules (13e partie)
Publié dans Info Soir le 19 - 02 - 2011

Résumé de la 12e partie n Miss Pebmarsh dit à l'inspecteur être sortie pour faire classe à l'institut Aaronberg de 10h à midi et demi...
Bien, dit Hardcastel. Si vous pouvez me certifier qu'à 10 heures ce matin, il n'y avait ici que vos pendulettes habituelles, ce serait donc plus tard dans la matinée qu'on aurait pu déposer les autres.
— Renseignez-vous auprès de ma femme de ménage, Mrs Curtin. Elle est chez moi de 10 heures à midi. Elle habite 17, Dipper Street.
— Merci, miss Pebmarsh. Et maintenant, en nous basant sur les quelques faits que voilà, j'aimerais que vous m'apportiez vos idées et vos suggestions. A un moment donné aujourd'hui, on a apporté quatre pendules dans cette maison. Leurs aiguilles à toutes, indiquaient 4h 13. Cette heure évoque-t-elle quelque chose pour vous ?
— Non, fit miss Pebmarsh, rien du tout.
— Venons-en alors au mort. A moins d'avoir prévenu votre femme de ménage, il semble peu probable qu'elle l'ait fait entrer et laissé seul ensuite dans la maison. Nous l'interrogerons d'ailleurs plus tard à ce sujet. Cet homme, donc, ne peut être venu ici que pour deux motifs : soit pour affaires, soit pour des raisons personnelles. Or il a été poignardé entre 1 heure et demie et 3 heures moins le quart. Lui a-t-on donné rendez-vous ? Vous prétendez n'en rien savoir. S'occupait-il de questions d'assurances ? Là encore vous ne savez rien. La porte n'étant pas fermée, il a très bien pu entrer et s'asseoir ici pour vous attendre. Mais pourquoi ?
— Toute cette histoire est rocambolesque, dit miss Pebmarsh s'énervant. A votre avis ce serait ce – comment s'appelle-t-il déjà ? – ce Curry qui a apporté les pendules ?
— Mais pas trace d'un emballage, observa Hardcastle. Comment aurait-il pu apporter quatre pendules dans ses poches ? Voyons, miss Pebmarsh, ces pendules... cette heure de 4h 13... aucune association d'idée...?
— Ou c'est l'œuvre d'un fou, dit-elle, ou alors on s'est trompé de maison. Non, inspecteur, je ne vois rien à vous dire.
Sur ce, un jeune policier entrebâilla la porte. Hardcastle l'ayant rejoint dans le hall, alla ensuite à la grille s'entretenir quelques instants avec ses hommes :
— Maintenant, vous pouvez ramener la jeune fille chez elle, dit-il. Elle habite 14, Palmerston Road.
Il revint dans la salle à manger. Par la porte ouverte, on entendait miss Pebmarsh s'affairer sur son évier. Debout dans l'encadrement, il lui dit :
— J'ai besoin de ces pendules, miss Pebmarsh, je vous laisse un reçu.
— Faites, faites, inspecteur. Elles ne m'appartiennent pas.
Se tournant vers Sheila Webb :
— Vous pouvez rentrer chez vous, miss Webb, lui dit-il.
Sheila et Colin se levèrent.
— Raccompagne-la à la voiture, je te prie. Colin, ajouta-t-il en s'installant à la table pour rédiger le reçu.
Les deux jeunes gens étaient déjà dans l'allée quand soudain la jeune fille s'arrêta :
— Mes gants... je les ai oubliés.
— J'y vais.
— Non, je sais où je les ai laissés. Et puis, ça m'est égal maintenant... maintenant qu'ils l'ont emmené. (A suivre...)


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