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Celui que je croyais aimer
Publié dans Info Soir le 03 - 07 - 2012

Résumé de la 1re partie n Kenza est courtisée par son cousin paternel, mais, au grand désespoir de sa mère, elle ne lui accorde pas beaucoup d'intérêt.
Tahar et Baya ont trois filles qui ne leur ont donné, jusqu'à présent, que des satisfactions. Kenza, l'aînée, a fait des études d'informatique et travaille dans un bureau, en attendant de passer le concours de magistère, les deux cadettes, Souad et Nadia sont au lycée... Mais voilà, depuis quelques mois, un cousin, Kamel, infirmier à l'hôpital, s'est épris de Kenza et veut demander sa main. La jeune fille, qui n'a aucun sentiment pour lui, n'a pas du tout l'intention d'accepter, en dépit de l'insistance de ses parents qui voient en Kamel un garçon sérieux. Depuis, ils ne cessent de lui répéter : «Se marier dans sa famille, c'est boire l'eau à la source», autrement dit, pas de risque d'être trompé, puisque le prétendant est parfaitement connu !
Il y a deux mois, la mère de Kamel, Taos, est venue voir la jeune fille et n'a pas cessé de faire l'éloge de son fils à Baya ; elle a dévoilé son projet et la pauvre mère, si elle ne connaissait pas sa fille, aurait tout de suite dit «oui». Kenza était capable de refuser, rien que pour ne pas avoir été consultée : et effectivement elle refuse.
Tahar la prend à part :
— Ton cousin est un mari idéal ! Il ne boit pas, il ne fume pas, il ne chique pas... Du travail à la maison ! C'est un foyer solide que tu bâtiras avec lui !
— Je n'ai pas l'intention de me marier, a répondu la jeune fille, qui a gardé les yeux baissés tout au long de l'entretien.
— Tu n'as pas besoin de te marier maintenant ! Donne-lui une réponse, c'est tout !
— Je ne veux pas promettre quelque chose que je regretterai par la suite !
— Tu n'auras rien à regretter !
— Je dois réfléchir !
— Ton cousin s'impatiente, il faut le rassurer au moins !
— Je ne peux pas !
— Tu dois faire un effort !
Comme Tahar insiste, elle éclate en larmes et lui dit, comme à sa mère :
— Je ne veux pas épouser Kamel !
Et quand sa mère est venue la rejoindre dans sa chambre pour la raisonner, elle lui a crié :
— Si vous me forcez à me marier avec Kamel, je me donnerai la mort !
Baya et Tahar, prenant au sérieux la menace, n'ont pas voulu lui forcer la main. Mais il ne ratent pas l'occasion de lui rappeler que son cousin est un beau parti et qu'elle devrait changer d'avis. Baya continue à dire à Taos, la mère de Kamel, que sa fille n'est pas encore décidée à se marier mais qu'elle réservera une réponse favorable à la demande de son fils, le moment venu !«Patience, patience !» En fait, ni elle ni Tahar ne savent que Kenza a un homme dans sa vie... Un garçon avec qui elle sort depuis maintenant six mois. Même ses sœurs, auxquelles elle se confie habituellement, ne sont au courant de rien !
A suivre
K. Yerbi


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