Résumé de la 7e partie - En consultant ses instruments, le terrible magicien, qui apprend qu'Aladin a épousé la fille du sultan, décide de s'emparer de la lampe merveilleuse... Il entre dans une colère terrible, criant et gesticulant comme s'il était possédé par le diable, tout en se demandant comment lui dérober la fameuse lampe, car il est sûr que le fils d'un misérable tailleur n'a pu devenir gendre du sultan sans l'aide des pouvoirs magiques de la lampe. Ils auraient donc pu vivre parfaitement heureux si, quelque part, le terrible magicien ne s'était un jour souvenu d'Aladin. Encore une fois, du fin fond de l'Afrique, il décide d'essayer de rentrer en possession de la lampe merveilleuse et de savoir ce qu'il est advenu de cet Aladin qu'il a emprisonné dans la trappe. Il s'installe donc devant ses instruments et prononce la formule magique. Quelle ne fut pas sa surprise de voir qu'Aladin vit comme un prince et qu'il a épousé la fille du sultan lui- même ! Il se décide à agir et sans perdre une minute il frotte son anneau magique. En un éclair, le voilà transporté dans la ville même où vit Aladin. Il se promène dans les rues questionnant les passants. Bientôt il sait tout ce qu'il veut savoir sur Aladin et son palais. Alors il achète une douzaine de lampes neuves et commence à arpenter les rues en criant : «Qui veut échanger une vieille lampe contre une neuve ? Qui veut échanger une vieille lampe contre une neuve ?» Les citadins pensant que le camelot a perdu la raison, profitent de cette offre inespérée. Le magicien échange en souriant lampe après lampe tout en se rapprochant du palais d'Aladin. Quand il arrive aux portes du palais, il ne lui reste plus qu'une lampe. «Une lampe neuve contre une vieille», crie-t-il sous les fenêtres d'Aladin. Il a appris qu'Aladin et son épouse ne sont pas au palais, ainsi ne craint-il pas d'être découvert. (A suivre...)