Résumé de la 2e partie - C'est la panique à la maison : Zahia découvre que son beau-père âgé de 85 ans a une maîtresse. Mahfoud, son mari, est très inquiet parce qu'il a vite compris que la prétendue maîtresse doit être intéressée surtout par la fortune de son père. Mahfoud toisa son épouse : Et alors ? tu dis «et alors ?». Tu ne vois pas le danger que nous courons tous ? Bien sûr, je le vois ! Quelle honte ce sera quand les gens sauront que ton père, au lieu d'aller en pèlerinage aux Lieux Saints, continue à se comporter comme un adolescent...Tout est ta faute...Pourquoi ne l'as-tu pas envoyé en pèlerinage ? Allez, arrête de dire n'importe quoi ! Toi, tu n'as vu que la honte et ce que diront les gens en apprenant que mon père a un comportement d'adolescent attardé...Moi, j'ai peur pour ses biens...Cette femme va le détrousser ! Elle peut même insister pour qu'il l'épouse afin d'hériter d'une partie de ses biens...ou de leur totalité, si elle a dans son entourage quelqu'un qui s'y connaît en entourloupettes juridiques. Ah ! Tu as raison, Mahfoud...je n'y ai pas pensé... Quant à son pèlerinage aux Lieux saints, cela fait plus de quinze ans que je lui en parle... Il me répond à chaque fois qu'il préfère aider les nécessiteux chaque fois qu'il les croise... Aider les pauvres est une hadja autrement plus louable, ne cesse-t-il de me répéter. Hum...Il a peut-être raison, Mahfoud. Alors, maintenant s'il te plaît, ne me répète plus cette histoire de pèlerinage. Vers 19h30, le vieux Tahar sort pour se rendre à la mosquée pour la prière de l'Icha et son fils Mahfoud âgé, de 48 ans, en profite pour entrer dans sa chambre. D'habitude quand il se rend à la mosquée, il ne prend pas son téléphone avec lui. Et ce soir-là, il n'a pas fait exception. : le petit objet magique se trouvait sur la table de nuit. Mahfoud appelle sa femme. Ecoute, Zahia, je vais examiner le répertoire du téléphone de mon père. Alors mets-toi au balcon et surveille les alentours du quartier...Il est capable de revenir sans crier gare. (A suivre...)