Selon M. Khalifa, les vols sont fréquents puisque la plupart des sites ne sont pas surveillés. «Comme sur le site de Madore, à la frontière algéro-tunisienne ; à Tébessa, à Khamissa, les gens volent. Nous avons même vu des personnes prendre des statues et les traîner de l?autre côté de la frontière, en Tunisie. A la Casbah d?Alger, certains ont enlevé des carreaux de faïence qui datent du XVIIIe siècle pour les revendre à un prix dérisoire à des familles riches qui les acquièrent pour embellir leurs villas ou leurs luxueux appartements.»