Trouver un stationnement relève désormais du miracle pour les automobilistes. C?est tout le problème de la saturation d?un réseau routier et infrastructurel d?une ville qui n?arrive plus à contenir un flux quotidien de pas moins de 700 000 voitures. En l?absence d?aires de stationnement suffisantes, Alger se noie dans une circulation urbaine devenue de plus en plus anarchique. Tous les usagers de la route en ville se plaignent de la circulation, de plus en plus dense et parfois éreintante, pour les conducteurs de taxi, de bus ou du simple usager, pour lesquels entrer dans la capitale ou en sortir est devenu un véritable calvaire.