Ailleurs, à El-Biar, devant le mur d'une polyclinique, une montagne d'ordures ménagères. Au Télémly, près du mur de la poste des Sept Merveilles, lorsque la montagne d'ordures est collectée, il persiste des saletés mélangées à de la boue. La chaussée est repoussante. Il faut dire que beaucoup de fuites d'eau potable sont recensées dans cette montée. De l'eau stagnante est un foyer de larves de moustiques. Cela se passe non loin du ministère des Postes et des Télécommunications et de la direction générale de Sonelgaz. A Alger-Centre, pas loin du siège de l'APC, en face de la place Emir Abdelkader (rue Larbi-Ben-M'hidi), le tas d'ordures, près de la librairie à l'angle, est toujours là, tout au long de la journée. Vers 20 h de passage dans les lieux, les ordures éparpillées et piétinées étaient encore sur la chaussée et le trottoir, pas loin du Milk- Bar. Autres images, au boulevard Colonel Amirouche, à longueur d'année, les eaux usées, qui stagnent à l'angle des ruelles, dégagent des odeurs nauséabondes et leur vue est repoussante sur une des grandes artères de la capitale où des banques, des ministères, la sûreté nationale, la Bourse d'Alger … ont leur siège. La nuit, les rats, les cafards et les moustiques sont les maîtres des lieux. Par ailleurs, au nouveau cimetière de Bouzaréah, une décharge sauvage surplombe les tombes nouvellement construites. Des bâtisses clandestines ont été édifiées au grand dam des autorités. A Kouba, pas loin du siège de l'APC, dans une ruelle perpendiculaire à l'avenue Mohamed Fellah, un tas d'ordures est déposé près du mur d'une maison et non loin des commerces d'alimentation. Ces exemples d'absence d'hygiène sont nombreux. Ces mêmes images se reproduisent un peu partout dans nos villes.