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Suspense
Dors ma jolie (168e partie)
Publié dans Info Soir le 10 - 06 - 2007

Résumé de la 167e partie n Sal, l'auteur des crimes, a été arrêté. Le détecteur de mensonge a failli envoyer Seamus à la potence.
La police avait demandé à Ruth de l'accompagner à la boutique indienne. La corbeille dans laquelle elle avait jeté le poignard avait change de place. C'est pourquoi les flics ne l'avaient pas trouvé. Elle le trouva pour eux, les regarda le glisser négligemment dans un sac de plastique.
«Je l'ai nettoyé, leur dit-elle.
— Les taches de sang ne disparaissent pas toujours.»
Comment tout cela avait-il pu leur arriver ? se demanda-t-elle, assise dans le vieux fauteuil de velours qu'elle avait toujours détesté et qui lui semblait maintenant familier et confortable. Comment avons-nous perdu le contrôle de nos vies ?
La nouvelle de l'arrestation d'Anthony della Salva tomba au moment où elle s'apprêtait à éteindre le poste. Elle et Séamus se regardèrent, incapables pendant un instant de saisir le sens de ce qu'ils entendaient. Puis ils tombèrent dans les bras l'un de l'autre.
Douglas Brown entendit sans y croire l'annonce faite au journal du soir de C. B. S., puis il s'assit sur le lit d'Ethel— non, son lit— et se prit la tête dans les mains. C'était fini. Ces foutus flics ne pourraient pas prouver qu'il avait piqué du fric à Ethel. Il était son-hériter. Il était riche. Il voulut fêter ça. Il sortit son agenda et chercha le numéro de téléphone de la petite réceptionniste à son travail. Puis il hésita. La gosse qui faisait le ménage, l'actrice. Il y avait quelque chose chez elle. Ce surnom idiot. «Tse-Tse.» Son nom était inscrit dans le carnet d'adresses personnel d'Ethel.
Le téléphone sonna trois fois.
«Allô.»
Elle devait partager sa chambre avec une Française, se dit Doug.
«Puis-je parler à Tse-Tse, s'il vous plaît ? De la part de Doug Brown.»
Tse-Tse, qui répétait le rôle d'une prostituée française, oublia son accent.
«Laisse tomber, pauvre cloche», lui dit-elle, et elle raccrocha d'un coup sec.
Devin Stanton, archevêque pressenti pour l'archidiocèse de Baltimore, se tenait à la porte du living-room et regardait les silhouettes de Neeve et de Jack dans l'encadrement de la fenêtre. Derrière eux, un croissant de lune venait d'apparaître entre les nuages. Avec colère, Devin pensa à la cruauté, l'avidité et l'hypocrisie de Sal Esposito. Avant de retrouver le sens de la charité chrétienne, il marmonna pour lui-même : «Salaud d'assassin.» Puis, en voyant Neeve dans les bras de Jack, il pensa : Renata, j'espère et je prie pour que tu voies ça.
Dans le bureau, Myles prit la bouteille de vin derrière lui. Kitty était assise dans un coin du canapé, ses cheveux roux brillaient doucement à la lumière de la lampe victorienne. Myles se surprit à dire :
«Vos cheveux ont un joli ton de roux. Je crois que ma mère aurait appelé ça blond vénitien. Est-ce exact ?
Kitty sourit.
«C'était vrai à une époque. Maintenant, il faut donner un petit coup de pouce à la nature.
— Dans votre cas la nature n'a besoin d'aucune aide.» (à suivre...)


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