Résumé de la 16e partie n Omar est heureux de se retrouver chez son oncle, d'avoir une belle chambre à lui tout seul pour tout l'été. Il pense aussi à sa belle cousine... Les rayons du soleil, pénétrant par le balcon qu'il a laissé ouvert, lui chatouillent le nez et un puissant éternuement le tire du sommeil. — Atchoum ! Il se dresse sur son séant et se demande ce qu'il fait dans cette belle chambre. Il se rappelle qu'il est chez son oncle. Il regarde l'horloge et découvre, affolé, qu'il est huit heures passées. Et lui qui, fièrement, a dit à son oncle qu'il est un lève-tôt, saute sur ses jambes, va dans la salle de bains mitoyenne, fait rapidement sa toilette et descend au rez-de-chaussée. Il entend la voix de son oncle dans la cuisine ; il s'y rend et trouve son oncle en train de prendre son petit-déjeuner. — Bonjour mon oncle, bonjour ma tante... — Ah, c'est Omar, dit l'oncle Tahar. — tu as bien dormi ? demande la tante Zahra. — Oui, ma tante, je crois que je ne me suis pas levé tôt... — ça va, ça va, dit l'oncle, je voulais te faire des recommandations avant de partir... Les ouvriers vont arriver vers neuf heures, il y a des infiltrations d'eau au niveau de la terrasse et des réparations à faire au niveau de la cave... Les pluies de l'hiver nous ont causé des dégâts... et comme nous ne venons ici qu'en été, j'ai un peu négligé... Je compte sur toi pour les surveiller ! — Je les surveillerai mon oncle, j'irai de la terrasse à la cave ! — c'est bien mon garçon. Ils mangeront sur place. Zahra leur préparera quelque chose que tu leur donneras. — tu peux compter sur moi, mon oncle. — ils seront partis avant mon retour à six heures, tu veilleras à ce qu'ils nettoient tout avant de partir. Ça prendra trois ou quatre jours. — Ça prendra le temps qu'il faudra, mon oncle. — Tu es un brave garçon. Après, vous irez à la plage, Rafik, Nadia et toi. Zahra vous y conduira. L'oncle se lève pour partir. Omar s'attable pour prendre le petit-déjeuner. — Les enfants dorment encore, dit Zahra. — Laisse-les dormir, ma tante, je m'occupe de tout. Vers neuf heures, comme l'a dit l'oncle, les ouvriers, au nombre de trois arrivent. Ils déchargent les matériaux et Omar les aide à les monter à la terrasse. Et comme un grand, il supervise les travaux. A midi, il leur monte le déjeuner. — Reviens manger avec nous, lui dit la tante. — non, dit Omar, je vais manger avec les ouvriers. Comme ça, je pourrai les surveiller et ils se mettront au travail dès qu'ils auront fini ! Et il remonte à la terrasse, avec le plat. (à suivre...)