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Cela s'est passe un jour/ Aventures, drames et passions célèbres
La tragédie du «Titanic» (42e partie)
Publié dans Info Soir le 11 - 08 - 2007

Résumé de la 41e partie n Un navire, le «Carpenthia», parti de Gibraltar vers New York, arrive au secours des naufragés. Il a intercepté les messages de détresse du «Titanic» et a foncé aussitôt à son secours.
Les naufragés sont plusieurs dizaines sur le pont, les uns debout, le regard absent, pensant aux morts, les autres assis ou couchés, se lamentant. Une femme, qui a laissé à bord du bateau son époux et son fils, pleure doucement, répétant inlassablement : «Ils sont morts, tous morts !»
Quelques-uns ont la force de se lever et d'aller voir si des proches ou des gens de leur connaissance, laissés sur le «Titanic», ont pu échapper au naufrage.
«Il devait prendre le canot suivant, gémit une femme.
— Un autre bateau l'a peut-être recueilli», la console un matelot.
Il y a comme une lueur d'espoir dans le regard de la femme :
«Vous croyez ?
— Il faut l'espérer», madame.
Même ici, en dépit du caractère dramatique de la situation, le protocole est respecté : les naufragés de deuxième et de troisième classes sont séparés des passagers de première classe. Et des membres de l'équipage le rappellent à ceux qui, à la recherche de leurs proches, passent d'une classe à l'autre.
«Veuillez rejoindre votre classe, monsieur» ;
«Madame, vous ne devez pas être là !»
On s'excuse, on va rejoindre «sa» place.
Après le départ du «Carpenthia», avec les survivants qu'il a pu recueillir, trois autres navires arrivent sur les lieux du naufrage : le «Birma», le «California» et le «Mount Temple». Ils explorent les lieux du naufrage, mais il n'y a plus de débris, plus de corps qui flottent à la surface de l'eau. Ceux qui ont coulé ont coulé, les autres ont dû être pris par la banquise qui s'est formée au cours de la nuit qui, rappelons-le, est glaciale dans cette partie de l'océan.
Le «California» arrive avec les survivants, à New York, le 18 avril. On descend les canots de sauvetage et on va les porter au bassin numéro 42 où le «Titanic» devait accoster. Il y a beaucoup de journalistes sur les quais et on attend avec impatience de recueillir les témoignages des rescapés. Quelques instants après, on apprend, avec stupéfaction, l'étendue du désastre : plus de 1 500 passagers ont péri !
On se rappelle alors les informations diffusées, juste après l'annonce du naufrage du «Titanic» par des responsables de la White Star, la société propriétaire du navire : «Tous les naufragés ont été recueillis par des navires et sont sains et saufs. On ne déplore aucune perte humaine.» Hélas, les familles devaient vite déchanter : plusieurs avaient perdu leurs proches dans la catastrophe.
Après le deuil, la colère : comment un navire dit insubmersible, avec à son bord les meilleurs matelots, a pu sombrer de la sorte ? Pourquoi, quand l'accident a eu lieu, n'a-t-on pas pris les choses au sérieux ? Comment se fait-il que l'iceberg n'a pas été vu à temps ? Pourquoi manquait-il des canots de sauvetage ? (à suivre...)


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