Résumé de la 27e partie n Sabrina est décidée à ne pas épouser Rafik, même si sa mère ou son oncle l'y contraignaient. Djazia est sortie faire des courses. Sabrina est restée seule à la maison. Elle a fait du rangement dans sa chambre, puis elle est descendue au salon. Elle a pris un livre et se met à lire. Soudain, elle se rappelle son père. C'est là qu'il était le jour de son malaise. Il a demandé un café et quand Djazia est revenue, il s'était assoupi. Elle a essayé de le réveiller, mais elle n'y est pas parvenue. C'est alors qu'elle a crié. «Mon Dieu !», dit Sabrina. Elle se rappelle : elle était devant le fauteuil et criait. C'est alors que Mohammed a accouru. «c'est horrible !» Elle ferme les yeux. Quand elle les rouvre, Mohammed est là. — toi, dit-il. — je passais pour demander des nouvelles de la famille. J'étais absent ces derniers jours… Sabrina retient une forte envie de pleurer. — que se passe-t-il ? demande Mohammed. — je me suis rappelé papa… Elle ferme son livre et le dépose sur une table basse. — je l'ai trouvé inanimé, j'ai crié… — ne pense plus à cela ! — C'est encore dans ma mémoire… — tu te rends malade ! Elle ferme les yeux. — c'est alors que tu es arrivé… Mohammed est gêné qu'on lui rappelle un service qu'il a rendu. — j'ai entendu tes cris… — et... tu es arrivé ! Elle se rappelle quelque chose. — quand on a appelé mon oncle, on nous a dit qu'il était souffrant… — il l'était sans doute ! — il n'est venu à l'hôpital que le lendemain matin… Quant à mon cousin, il n'a même pas donné signe de vie ! Et d'ajouter : «et dire maintenant qu'il a des vues sur moi !» Mohammed la regarde. — je ne comprends pas. — laisse tomber… Mohammed a bien compris ce que Sabrina a dit. Il est atterré. — j'étouffe, ici, je veux aller au jardin ! — viens, dit Mohammed, je t'y accompagne. (à suivre...) K. Y.