Résumé de la 59e partie n A son retour du voyage de noces, Sabrina continue toujours à se méfier de son mari. Quelques mois après, Djazia reçoit un courrier. Il s'agit de factures à payer, sous peine de saisie de ses biens. Elle est si surprise qu'elle pousse un cri. Sabrina accourt. — que se passe-t-il ? demande-t-elle, effrayée. Djazia, en tremblant, montre la lettre. La jeune fille la prend et la lit. — je te l'ai dit ! Djazia ne sait que faire. — je te l'ai déjà dit ! — c'est sans doute une erreur ! — tu ne comprends pas qu'il nous a dépouillées ! — il m'avait assuré… — et tu l'as cru ? Djazia baisse les yeux. — qu'allons-nous devenir ? Sabrina relit la lettre. — c'est plusieurs milliards qu'il a dépensés dans des affaires qui ont échoué ! — Peut-on les payer ? — il faudra vendre tout ce que nous avons… — nous sommes sur la paille ! — nous allons l'attendre et lui demander des explications ! Rafik ne tarde pas à arriver. — alors ? demande-t-il, ça va ? Pour toute réponse, elle lui tend la lettre. Il la lit et pâlit. — ce n'est rien ! — comment cela, ce n'est rien ? Tu nous ruines ! — je croyais que j'avais réalisé une bonne affaire ! — tu aurais dû consulter maman ! — elle m'a donné toute la liberté d'agir ! Sabrina éclate. — maman, tu m'as fait épouser un escroc ! Rafik perd son calme et fait le geste de la gifler. Djazia crie. — je m'excuse, dit Rafik. — va-t-en, va-t-en de chez moi ! Rafik se met aussi à crier. — chez toi ! tu es également chez moi ! N'oublie pas que je suis ton cousin ! Djazia se met à pleurer. — bon, dit Rafik, je m'en vais, mais je reviendrai ! Comme toi, je suis héritier des biens de mon oncle ! — va-t-en, va-t-en ! Il s'en va. Djazia et Sabrina tombent dans les bras l'une de l'autre. — mon Dieu, qu'ai-je fait ? (à suivre...)