Résumé de la 10e partie n Le presbytère continue à étonner ses occupants : un crâne, emballé dans du papier, a été trouvé dans la bibliothèque. Tout le monde est impressionné par la découverte, car, ce crâne humain, on n'en connaissait pas la provenance. S'agit-il de la tête d'un «fantôme» ou d'un cadavre récent ? Les Smith n'ont pas eu l'idée de le faire examiner par des experts ! Cependant, après cet événement, madame Smith est au salon. Elle prend un journal et le lit, quand elle sursaute. «oui ?» Il n'y a personne, mais la jeune femme a l'impression qu'il y a une présence dans la maison. Elle regarde autour d'elle. Son cœur se met à battre. — mon Dieu, c'est ce tableau ! Le tableau est un vieux portrait et les yeux ternes du personnage semblent s'animer. — mais, il m'observe ! Elle essaye de retourner à sa lecture, mais elle est troublée. Elle lève de nouveau les yeux : le portrait semble toujours la regarder. Et il lui semble que le regard a changé d'expression ! Elle pose son journal et va retrouver son mari. — tu as l'air agitée, dit le révérend, que se passe-t-il ? — j'ai l'impression d'être épiée ! — epiée ? Mais par qui ? — je ne sais pas… Elle lui parle du tableau. — ce n'est qu'une impression… — mais je t'assure que cela m'a troublée… — tu devais penser à tous ces phénomènes et cela t'a influencée ! Il l'accompagne au salon. Le tableau est toujours là, plus terne que jamais. — son regard est effacé ! — tout à l'heure, il me semblait qu'il brillait ! — je te le répète, ce n'était qu'une impression ! — mais le tableau semblait vivant ! Mais le révérend devait faire lui-même cette expérience désagréable. Il est dans une chambre quand la porte se ferme brusquement. Il se dit que c'est le vent et il n'y fait pas attention. Mais brusquement, il se sent épié. Il se retourne : il n'y a personne ! Il reprend sa tâche. Il lève la tête. — qui va là ? Il n'y a toujours personne. Mais il avait la nette impression que quelqu'un se trouvait derrière lui et suivait ce qu'il faisait ! — c'est incroyable ! Il quitte la pièce. Il se sent encore suivi par la «présence». Une présence qu'il ressent, mais dont il n'arrive pas à déterminer la nature ! (à suivre...)