Résumé de la 48e partie n La jeune femme est jolie, intelligente et elle appartient à une famille honorable, mais les parents, partis demander sa main, rentrent chez eux précipitamment. Dans la voiture Boualem est furieux. — Qu'est-ce qui vous a pris ? — Rien dit Djohra, je me sentais mal ! — Quoi, dit Boualem, tu avais l'air bien… C'est brusquement que ça t'a pris ! — Je te dis que je me sentais mal ! — Tu ne vas pas me faire croire à ce bluff : je sais que tu n'as aucun traitement et que tu te portes comme un charme ! Djohra ne répond pas. — Tu refuses de me répondre. — Laisse ta mère tranquille, dit son père, Ali. — Je veux qu'on m'explique ! — A la maison, dit Ali Boualem est brusquement atterré. Ces parents ne veulent pas de Katia. — Quoi, elle ne vous plaît pas ? — A la maison, on va en parler ! dit Ali Mais Boualem veut savoir. — Elle n'est pas assez jolie ? (A sa mère) je croyais que tu aimais les peaux blanches, les cheveux blonds et les yeux bleus ! Djohra desserre les dents. — De ce côté-là, il n'y a rien à dire ! — Alors, vous ne la trouvez pas suffisamment intelligente ? — Non, non, elle est intelligente ! — Et bien éduquée… — Alors, c'est sa famille… — Ils nous ont bien accueillis… Boualem se retourne de nouveau vers sa mère. — La mère peut-être ? — Elle a été correcte Le jeune homme est désespéré. — Je ne comprends rien… Mais je sais qu'il s'est passé quelque chose ! — Tu le sauras à la maison ! Boualem ne dira plus rien. Il sait que sa mère est capricieuse et change souvent d'avis mais il ne pensait pas qu'elle allait jouer ainsi avec ses nerfs ! De toute façon, qu'elle le veuille ou non, il épousera Katia ! il l'aime et il sait qu'elle l'aime… Cette visite de sa mère et de son père, ce n'était qu'une formalité, une démarche pour se plier à la tradition. Mais puisqu'ils ne veulent pas jouer le jeu, eh bien, il se passera de leur consentement, même s'il leur a toujours obéi… — Ne t'impatiente pas, dit sa mère — Tu sauras tout à la maison !