Résumé de la 49e partie n Pourquoi Djohra et Ali, partis demander une fille à leur fils Boualem, sont repartis brusquement ? Il faut attendre d'arriver à la maison pour qu'ils s'expliquent ! Ils descendent de voiture et rentrent. Boualem, qui doit garer la voiture, ne sait toujours pas ce qu'il doit penser. Il redoute même de se présenter à ses parents. S'il est vrai qu'il a décidé, coûte que coûte, d'épouser Katia, il a quand même besoin du consentement de ses parents. Et puis, comme il doit encore vivre un certain temps avec eux, il a besoin que tout se passe bien entre la jeune femme et eux ! Il monte à la maison. c'est sa jeune sœur qui lui ouvre. – ils sont où ? demande-t-il à voix basse – Dans le salon ! – comment sont-ils ? – ils ont l'air déçu… Ta copine ne leur a pas plu ? – Je ne sais pas ! Il hésite puis va au salon. — ah, vous êtes là ? – oui, dit Djohra. – entre, dit Ali Il entre. – assois-toi ! Il prend place dans un fauteuil. Mais ni son père ni sa mère n'arrivent pas à parler. — alors, vous allez m'expliquer… – tu ne peux pas épouser cette femme ! – quoi ! s'écrie Boualem, elle a fait si mauvaise impression sur vous ? – non, non, dit Djohra – Je croyais que tu aimais les blondes ! – elle est très jolie… – vous m'avez dit aussi que vous trouviez sa famille bien ! – c'est vrai… – c'est peut-être ses vêtements… Elle s'habille trop décolleté… – Ce n'est pas cela ! dit encore Djohra – Ce n'est pas cela ? Si ce ne sont ni le physique ni les vêtements de la jeune fille qui dérangent ses parents, qu'ont-ils donc à lui reprocher ? Elle a une belle taille, de grands yeux bleus, des cheveux couleur de froment…Et puis, elle est très instruite, très réservée, polie, douce… – alors, de grâce, dites-moi ce que vous lui reprochez à cette fille ! supplie-t-il – Ce que je lui reproche ? dit sa mère – oui, toi, en particulier, car je sais que tout vient de toi, dis-moi ce que tu lui reproches ! – Eh bien… Elle hésite, elle semble aussi torturé que son fils. – parle, parle ! – Ses dents… – Quoi ses dents ! – elle a, au milieu, un grand écartement !