La salle Harcha-Hassen a vécu le long des 10 jours qu'a duré la 21e CAN de handball des moments uniques. Une des plus belles pages du handball algérien vient d'y être inscrite. La septième étoile arrachée par les coéquipiers du phénoménal Abdelmalek Slakdji a indéniablement scellé le nom de la Salle Harcha à celui de la gloire du sept national porté par un public du tonnerre. En dépit du chauvinisme dont il a fait preuve parfois, le public algérien a su être au final très fairplay. L'exploit des sportifs algériens ne doit, cependant pas, éclipser les ratés d'une organisation. Organiser une compétition sportive internationale appelle un travail de fourmi où rien ne peut être laissé au hasard. G. H.