Les maladies à transmission hydrique appelées par contraction MTH, ont été les points essentiels mis en exergue par le wali de Sidi Bel Abbès qui a mis l'accent sur la nécessité de moderniser le réseau d'AEP et celui de l'assainissement. Ce dernier a insisté sur les travaux de réparation ou de réhabilitation effectués dans les règles de l'art, notamment l'évacuation des eaux usées, la réparation des brisures et le lessivage au lait de chaux, tout en instruisant les concernés de doter toutes les communes par les moyens afin d'écarter les MTH. Concernant le problème du quartier Sidi Yacine, où l'eau a été contaminée, privant les citoyens de cet élixir de vie, le wali, a donné un délai ferme de 72 heures pour régler ce problème. Devant la désinfection de l'eau potable, qui est passée depuis longtemps dans les mœurs, et qui souffre de lacunes qu'il faudra combler à brève échéance, Benthabet Mokhtar a averti ses subalternes de tout dépassement dans ce sens. Le même responsable a appelé les commissions chargées de contrôle en cette période estivale d'établir quotidiennement un état des lieux de la situation à travers toute la wilaya. Evoquant les retards enregistrés dans les réalisations de projets, et dont seule une centaine d'opérations sur les 448 en cours, le chef de l'exécutif a insisté sur le respect des délais. Le wali a également misé sur la nécessité de la prise en charge de la jeunesse, et surtout la bonne gouvernance et la bonne gestion, tout en affirmant que le maire et l'ensemble de élus sont les piliers de la formation de modes gouvernance. L'ambition est d'anticiper la ville de demain, d'explorer les mutations liées aux nouvelles technologies, les nouveaux usages induits par la mobilité et les cultures, la préservation de l'environnement, a tenu à souligner le premier responsable de la wilaya. Le chef de l'exécutif a tenté d'expliquer qu'il faut semer les ingrédients propices à améliorer la qualité de vie pour attirer les résidents et entrepreneurs, qui sont les moteurs du développement urbain. Cela doit se faire dans un cadre balisé, afin de ne pas perdre le contrôle. Cet état de fait a été dicté car la capitale de la Mekkera est marquée par de grands dossiers qui préoccupent la majorité écrasante des habitants : l'eau, la gestion des déchets, le stationnement anarchique… L'ambition est d'anticiper la ville de demain, d'explorer les mutations liées aux nouvelles technologies, les nouveaux usages induits par la mobilité et les cultures, la préservation de l'environnement… a tenu a maintes reprises a répéter le wali, qui opte depuis longtemps pour la bonne gouvernance et la bonne gestion.Les profondes transformations ont fait de Sidi Bel Abbès, un archétype des grandes métropoles nationales, et Sidi Bel Abbès a confirmé son statut de ville d'avenir sur la scène algérienne. Le visiteur sera ahuri devant les grands changements qu'a subis cette wilaya qui compte environ 650 mille habitants, devant le décor inexistant des ordures, comme si la police et la municipalité ont donné l'ordre de tous ramasser. Selon nos sources, des budgets ont été affectés pour améliorer l'environnement écologique de cette métropole, aux citoyens civilisés. Sidi Bel Abbès voit grand en matière écologique, car même ses espaces sont bien entretenus, et la ville ne cesse de se transformer en profondeur depuis l'investiture du président de la République. Dans cette région, le civisme a en effet valorisé son image et l'environnement. Les policiers et la direction de l'environnement n'interviennent que rarement et ce, dans des quartiers a dense population. Autrement dit, cette wilaya est une ville modèle pour la protection de l'environnement. Dans cette contrée, la PUPE, en étroite collaboration avec l'Assemblée populaire, a pour mission de préserver la tranquillité, la sécurité et la salubrité publiques. La brigade assure un environnement propre et certaines personnes «conventionnées» ont changé leurs mauvaises habitudes de jeter leurs ordures partout.