ARM : de nouvelles puces pour les smartphones, smartbooks, lecteurs d'ebooks Marvell vient de dévoiler une nouvelle gamme de processeurs ARM. La famille Armada devrait proposer des performances intéressantes. Les Armada 100 sont des puces multi-usages disposant d'un cœur cadencé au maximum à 1,2 GHz et d'une unité d'accélération graphique 2D. Avec les Armada 1000, on passe à deux cœurs de calcul, pour une puissance en nette hausse. Ces deux gammes sont relativement génériques et pourront adresser des marchés très divers comme celui des GPS, des lecteurs de livres électroniques, des platines audio/vidéo de salon, etc. Plus spécifiquement conçue pour les smartbooks, la gamme Armada 500 propose un support matériel de l'accélération 3D, du décodage vidéo HD et des opérations de chiffrement. Relativement similaires, mais moins performants, les Armada 600 se destinent aux smartphones, avec une fréquence de fonctionnement qui plafonnera à 1 GHz. ARM trace la voie pour une nouvelle génération de processeurs. Trois fois plus puissant que l'ARM9 et trois fois moins gourmand en énergie que l'ARM11, le Cortex-A5 sera une architecture de choix pour créer des processeurs destinés aux smartphones ou aux terminaux Internet bas de gamme. Il rejoindra les Cortex-A8 et A9, des offres plus performantes. Conçu pour être gravé en 40 nm, le Cortex-A5 pourra être cadencé à 1 GHz et intégrer un maximum de quatre cœurs. Il sera également équipé de la très performante unité multimédia NEON. On peut aujourd'hui se demander qui pourrait encore arrêter ARM. De fait, environ 15 milliards de puces ARM ont été vendues depuis la création de cette architecture RISC 32 bits. Confiante, la compagnie estime que ce chiffre sera doublé dans les quatre ans à venir. Google et Facebook lorgnent du côté de la musique en ligne Parfois, deux informations vont dans le même sens, signe que certains sujets ou secteurs sont la proie d'appétits féroces. Pour preuve, Facebook et Google pourraient, selon diverses sources de presse, s'atteler à proposer des services de contenus musicaux. Facebook serait donc actuellement en discussion avec certains des majors de l'industrie du disque pour lancer un service de musique en ligne. A en croire le Financial Times, Universal Music Group, Sony BMG Music Entertainment, Warner Music Group et EMI seraient en pourparlers avec les dirigeants du réseau social Facebook. De son côté, Google s'apprêterait à lancer un service dédié à la musique, selon une information du Wall Street Journal, Google pourrait offrir la possibilité, via ses pages de recherche, d'écouter des morceaux gratuitement ou de les acheter. De même, selon certaines informations citées sur le site Techcrunch, le nouveau service serait programmé pour le 28 octobre prochain. Rien de plus.Toujours est-il qu'à l'heure des suppositions, il serait clairement probable que Google utilise les capacités de son moteur de recherche pour proposer des liens permettant de lancer la lecture gratuite de morceaux via des sites de streaming comme iLike ou Lala. Il serait également possible d'acheter ces morceaux en passant par ces deux collaborateurs. Windows 7 souffre des mêmes tares que Windows Vista Acteur français incontournable du monde des logiciels libres, l'April a tenu à s'exprimer, suite à la sortie de Windows 7. Fort logiquement, l'association revient sur les dangers induits par le logiciel propriétaire. L'April diffuse un PDF, qui reprend les sept raisons de ne pas adopter Windows 7 présentées par la Free Software Foundation. Ces arguments sont par ailleurs applicables à tous les systèmes d'exploitation propriétaires. «Avec Windows Seven, Microsoft tente de faire oublier le fiasco de Vista ; mais ce système d'exploitation souffre des mêmes tares que son prédécesseur», explique Frédéric Couchet, délégué général de l'April. «L'absence d'interopérabilité, les failles de sécurité et le contrôle d'usage privé sont encore plus insupportables dans un monde interconnecté.» L'April considère ainsi que le modèle propriétaire est contraire aux intérêts des utilisateurs, le logiciel devant être un élément accessible à tous et sans contraintes. L'association s'insurge également contre les formats fermés et la politique de Microsoft, qui «entrave l'interopérabilité entre les systèmes, assèche la concurrence et ralentit l'innovation». Le communiqué de l'April revient enfin sur les systèmes de contrôle et de surveillance (DRM, Windows Genuine Advantage, etc.), la vente liée et les problèmes de sécurités découlant de l'opacité du code propriétaire. Un constat sévère qui plaira aux aficionados du libre mais laissera probablement la plupart des professionnels dubitatifs. «Seul le logiciel libre respecte les libertés et la vie privée des utilisateurs sur un marché ouvert et dynamique», conclut Benoît Sibaud, président de l'April. Symantec s'inquiète de la menace des faux antivirus L'éditeur de sécurité Symantec rend son rapport annuel sur les tendances en matière de méthodes de piratage et les techniques d'infection. L'étude, élaborée par le Security and Technology Response de Symantec, se porte sur les antivirus factices entre le 1er juillet 2008 et le 30 juin 2009. Sur le terrain des faux antivirus, Symantec explique comment nombre d'internautes se font piéger par une offre de faux antivirus. Grâce à des publicités ou à des pop-up dans le navigateur, les internautes sont invités à télécharger un logiciel afin de prévenir une pseudo-infection de leur système. La duperie est alors double puisque l'infection est réelle alors que l'utilisateur se croit protégé par son pseudo antivirus. Dans ce cadre, Laurent Heslaut, directeur des technologies de Sécurité chez Symantec, explique que 93% de ces installations sont de type intentionnel : «Ces logiciels factices sont en général proposés autour de 30 à 100 dollars et représentent environ 43 millions d'installations. Par simple calcul, il s'agit là d'un gros marché.» L'univers Mac ne serait d'ailleurs pas étanche à ce phénomène avec notamment le faux logiciel Mac Sweeper. De quoi amener encore un peu plus de flou chez les internautes. D'autant qu'en règle générale ces faux logiciels disposent d'une interface similaire aux véritables versions des antivirus connus. Kaspersky livre sa première solution de sécurité pour Mac Kaspersky vient de dévoiler la version Mac OS de son antivirus phare. Utilisant le moteur de Kaspersky Lab, l'éditeur tente de se servir de son expérience sur l'environnement Windows hétérogène pour renforcer la sécurité des postes Apple. Selon l'éditeur, l'antivirus va au-delà de la simple protection contre les virus, les vers et les chevaux de Troie sur Mac OS mais filtre et est capable d'analyser les menaces portant sur les systèmes d'exploitation Windows et Linux en empêchant l'utilisation des Mac comme «porte d'entrée» de programmes malveillants sur un réseau d'entreprise hétérogène. Ainsi protégés, les Mac ne seraient plus, selon Kaspersky, le point faible des organisations. A la loupe, la version Mac est dotée du même moteur que les solutions traditionnelles, à en croire Vartan Minasyan, responsable des produits Mac de l'éditeur ; «les Mac interagissent désormais avec de nombreux réseaux particuliers ou d'entreprises. Ceux non protégés s'apparentent à des passerelles ouvertes à travers lesquelles les programmes malicieux peuvent pénétrer n'importe quel ordinateur d'un réseau. En configuration entreprises, cela peut conduire à l'infection de dizaines de milliers de machines et à des pertes financières considérables». Kaspersky joue donc sur le fait que les Mac, bien que moins sujets aux attaques en raison de la moindre représentation du parc d'ordinateurs, peuvent être des cibles de choix pour attaquer une structure. Une sorte de porte d'entrée non sécurisée en somme. De même, afin de lutter efficacement contre les menaces malveillantes, l'éditeur s'appuie sur les quelque 20 millions de programmes enregistrés et sur des bases de données antivirales pour Mac, Windows et Unix, mises à jour toutes les heures. Enfin, côté interface, Kaspersky promet d'être proche de «l'univers Mac» avec un mode de fonctionnement automatique, qui limite les requêtes intempestives envers les utilisateurs mais aussi avec des données graphiques sur le statut de la protection. HP : de nouveaux services d'intégration Selon un communiqué de cette entreprise de technologie, les services d'intégration HP offrent une approche de solution globale ciblée qui permet aux clients de bénéficier des services de HP en ce qui concerne le déploiement de l'expertise en profondeur et l'accélération des délais de commercialisation dans les marchés et de diminuer les coûts. «Les entreprises ont tendance à adopter une approche tactique pour l'intégration et les projets de déploiement», a déclaré Riadh El Mensali, directeur général de HP El Djazair. «Au lieu de cela, l'adoption d'une approche plus stratégique et d'une solution basée sur la réflexion représente un pas en avant pour offrir aux clients une valeur dans l'exploitation de leur écosystèmes TI et l'optimisation de leurs ressources informatiques.» Les Services d'Intégration HP incorporent le déploiement technologique, la migration des données, la réinstallation, les services d'aménagement du site et la gestion de projet, pour répondre de manière cohérente aux besoins des sociétés, -standardisées- ou aux exigences basées sur la technologie. Les services prévoient également de répondre aux besoins d'installation et de démarrage dans le cadre des solutions framework proposées. En conséquence, les experts HP livrent les implémentations plus rapidement, avec des coûts efficaces, et une baisse des risques, tandis que les clients gardent leurs ressources internes axées sur leur activité. «Les Services d'intégration HP sont une solution unique basée sur l'offre qui permet aux clients de se concentrer sur la résolution de leurs problèmes commerciaux tandis que HP gère les responsabilités de plus en plus complexe de l'intégration», a déclaré M. El Mensali. HP a développé 10 modèles de solutions pour faire face aux défis les plus communs auxquels font face les sociétés -standardisées- ou aux exigences d'intégration de la technologie. Les solutions instaurent de meilleures pratiques et profitent des connaissances collectives acquises de l'engagement de milliers de clients similaires. Ces solutions très reproductibles permettent à HP de prendre une approche industrialisée quand elle doit faire face aux besoins des usagers pour