Bourekba et Cheklam ont débuté dans le onze de départ, tandis que Benhadj Djilali était resté sur le banc. Ramzi Bourekba a donné du tournis au commentateur saoudien, au moment de prononcer son nom, à l'occasion de son baptême du feu avec Nadi Najrem. Il s'emmêlait à chaque fois les pinceaux, si bien qu'on a eu droit à au moins deux noms aussi farfelus que drôles, avant qu'il ne prononce le bon numéro. Et encore, il a émis quelques réserves, allant jusqu'à demander à ce qu'on éclaire sa lanterne sur ce cas aussi difficile à cerner qu'un casse-tête chinois. Ainsi, ledit commentateur a d'abord commencé par appeler l'ex-Belouizdadi Abou Rekba, puis Bourkouba, pour ensuite se rendre compte que sur son maillot, il était inscrit Bourekba. Ne sachant plus à quel saint se vouer, il a lancé un appel : «Alors, comment doit-on l'appeler ? Je n'y comprends plus rien !», s'est-il lamenté, non sans une pointe d'ironie. Il devrait trouver la bonne formule dès que l'attaquant commence à marquer. Petite info : Bourekba et Cheklam ont débuté dans le onze de départ, tandis que Benhadj Djilali était resté sur le banc.